Dolce, dolce vita
samedi, 30 juillet 2011
Chacun de mes séjours en Italie a toujours été court. Trop court. Me laissant immanquablement l'envie d'y retourner le plus vite possible.
Les deux jours passés à Stresa, au bord du lac Majeur, n'ont pas fait exception.
Des hortensias aussi épanouis que s'ils étaient implantés dans le Finistère (et croyez-moi, je m'y connais en matière d'épanouissement d'hortensias, c'est toute mon enfance. Enfin, je m'y connais, sauf dans l'Est où je ne parviens guère à les maintenir en vie plus de la moitié d'un été...), un sens de la surcharge de dorures étudié, une dose de kitscherie comme je les aime...
Et puis les glaces qu'on savoure sur un coin de trottoir en regardant passer les gens, les terrasses au bord de l'eau, les maisons parfois un peu décaties, aux volets clos.
En une journée, juste assez de temps pour les îles Borromées et la visite de ces palais un peu théâtraux au(x) lustre(s) imposant(s).
A Stresa... sans stresser.
6 commentaires
ahlala, j'y passe en train souvent et à chaque fois je me dis qu'il faudrait que je m'y arrète... projet toujours remis... c'est peut-etre aussi ça qui fait le reve...
Comme c'est joli! Merci de nous amener là-bas, avec toi!
Merci de partager ici ces moments de bonheur... ;-)))
On m'a tellement parlé de ces contrées que je ne connais pas... Trop envie d'y remédier!
un sens de la surcharge de dorures étudié, une dose de kitscherie comme je les aime...
pas tous les partis régionalistes européens sont membres.
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