samedi, 30 juillet 2011
Dolce, dolce vita

Chacun de mes séjours en Italie a toujours été court. Trop court. Me laissant immanquablement l'envie d'y retourner le plus vite possible. Les deux jours passés à Stresa, au bord du lac Majeur, n'ont pas fait exception. Des hortensias aussi épanouis que s'ils étaient implantés dans le Finistère (et croyez-moi, je m'y connais en matière d'épanouissement d'hortensias, c'est toute mon enfance. Enfin, je m'y connais, sauf dans l'Est où je ne parviens guère à les maintenir en vie plus de la moitié d'un été...), un sens de la surcharge de dorures étudié, une dose de kitscherie...