« 2008-10 | Page d'accueil
| 2008-12 »
vendredi, 28 novembre 2008
Et toujours, une touche de fourrure vintage
Je suis tombée en arrêt devant cette photo publiée dans le Jalouse de novembre à l'occasion d'une incursion dans le dressing de Ginny Branch, jolie blonde de l'East Village rencontrée chez Marc Jacobs.
Je n'ai pas repéré que la fourrure vintage, j'ai aussi noté les robes qui donnent envie d'être projetée direct dans les années folles.
Et puis, lundi dernier dans ELLE, dans leur recensement de ces petits plus qui font le style, Fonelle et Garance Doré n'ont pas oublié, elles non plus, la touche de fourrure vintage.
Voilà qui ne pouvait mieux tomber alors que la météo tranforme la campagne des alentours de ma ville que j'aime pas en décor de conte de Noël.
Je peux dire que j'apprécie mon renard vintage et aussi mon col de mouton doré !
Par conséquent, j'actualise mon blog de ventes avec un col de fourrure vintage.
Doublé de liberty, s'il-vous-plaît.
Restent dispo les blouses Rützou et Hartford ainsi que les bottes Vic Matié, qui étaient réservées et ne le sont plus. Tout ce qui ne s'envolera pas sera prochainement sera impitoyablement déposé sur e-Bay et au dépôt-vente.
Devraient suivre des derbys genre Repetto dorées hélas trop petites pour moi. Et ce, dès que je j'aurai mis la main dessus !
12:56 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : fourrure vintage, elle, jalouse, garance doré | del.icio.us | Facebook
jeudi, 27 novembre 2008
A l'heure où blanchit la campagne
Là-bas dans le fond, il y a quelques semaines, par une belle fin d'après-midi d'été, les Vampire Week-end s'étaient produits au bord de l'eau sur la scène de la plage.
Oui. L'été...
Sur la route de l'école où j'emmenais mon fils, tôt ce matin, j'ai dû me rendre à l'évidence. L'automne a bel et bien cédé la place à l'hiver. Je suis passée chercher mon appareil photo, que je n'avais évidemment pas sur moi, et je suis repartie faire quelques images. Pffffffiou, à même pas 9 h du matin...
Ah ça, Catherine va pouvoir se vanter. M'ébaudir des beautés de la nature - surtout à une heure de trop chrétien - c'est tout de même pas bien mon genre.
Mais je le tenais, mon sujet sur les beautés du quotitdien, pour le concours de photos de son site Parismages.
Tout ça m'a donc inspirée et j'ai envoyé à Catherine d'autres photos que celles que je présente ici. Et je précise que j'ai eu froid aux pieds.
Ici, dès demain, si vous le voulez bien, ce sera retour à de la modasserie.
13:14 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (24) | Tags : photo, concours, parismages | del.icio.us | Facebook
mercredi, 26 novembre 2008
Le it-truc tombera des aiguilles
C'est l'un des it-trucs du moment. L'écharpe tubulaire image de la pub Kookaï me fait de l'oeil depuis le début de la saison.
Sur son blog, Garance Doré l'a dessinée dernièrement, puis l'a photographiée pour ELLE cette semaine au sujet des détails qui changent tout. En remettant ainsi deux belles louches.
Et puis Ithaa a montré la sienne.
Bien sûr, pendant ce temps, mon pauvre corner Kookaï de ma ville que j'aime pas ignore tout de cette ébullition.
Alors ça suffit, maintenant.
J'ai décidé de faire comme préconisé sur le blog Knit Spirit. Le it-truc, je vais le bidouiller moi-même. L'avantage, c'est que j'ai pu longuement réfléchir avant de trouver quelle serait la couleur idéale. J'ai oscillé du bronze au bleu nuit en passant par le kaki et le gris souris.
Finalement, j'ai opté pour l'une de ces couleurs improbables qu'il est bien difficile de nommer : une sorte de taupe sombre, comme un brun qui tirerait un peu sur un prune grisé. Et, en l'occurence, dénommé Ebène.
L'écharpe trois anneaux m'avait à peine pris deux soirées télévisées. Grâce à l'Express Phildar, le it-truc ébène ne m'en demandera pas davantage. Juste, c'est la robe T qui va devoir encore attendre.
14:42 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (39) | Tags : écharpe kookaï, phildar, mode | del.icio.us | Facebook
mardi, 25 novembre 2008
Saperlipopette, un sapin pop !
Pop. Cette année, mon sapin sera pop.
Pas question d'attendre décembre pour me mettre en quête de déco de Noël. Comme les maillots de bains qui envahissent les rayons dès février, comme les cartables qui encombrent les rayonnages à peine l'école fermée début juillet, dès novembre, les thèmes de Noël squattent les petites enseignes déco. Attendre davantage, c'est prendre le risque de ne plus rien dénicher de très excitant.
J'ai donc raflé, sans procrastiner davantage, les trois derniers mobiles miroir.
J'ai embarqué avec les trois dernières guirlandes à seventies qui, elles, ne faisaient pas partie de la déco de Noël. Mélangées à des pastilles de plexi rouge jusqu'ici inemployées et à un joli stock de pampilles gouttes rouges et violettes dont je n'ai jamais rien fait non plus - et dont il me reste juste à remettre la main dessus - voilà qui promet un sapin sacrément pop.
Et le plus beau, c'est que je vais même peut-être recycler les boules miroir touche disco de mon sapin de Morticia Adams millésimé 2007. A voir.
14:03 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (23) | del.icio.us | Facebook
lundi, 24 novembre 2008
Fourrures artificielles le 24 novembre 1961
ELLE pense déjà aux fêtes de fin d'année et fait poser pour sa couv' du 24 novembre 1961 l'un de nos plus sûrs espoirs du cinéma français, Catherine Spaak, qui tourne à Rome sous la direction du jeune metteur en scène Luciano Salce. Aucune mention quant à la provenance de sa robe noire.
Comme une petite fille éblouie, Brigitte Bardot a joué, pour ELLE et chez elle, les mannequins. Elle a choisi les modèles chez Réal, sa boutique préférée, un manteau noir sur robe pied de poule et pose avec son chien Guapa.
Elle a également jeté son dévolu sur une robe vert mousse à taille basse et chaîne de montre.
Joseph Kessel raconte, sur quatre pages, l'histoire de Bernard, alcoolique et de sa miraculeuse résurrection. Les Alccoliques Anonymes sont nés à New York et commencent à s'organiser en France. Kessel, grâce à ce récit, espère créer le déclic chez certains lecteurs/lectrices.
C'est du "faux", voilà une petite phrase qui, en 1962, perd de son agressivité. Le faux peut être réussi. Le Bon Magique propose (à gauche) un pardessus qu'on jurerait en cuir mais qui est en Rallye, une matière imperméable, intachable, infroissable et d'une souplesse étonnante. Il est assorti d'un béret (94 F et 20 F pour un ELLE à soit 308,86 € et 65,71 € pour un ELLE à 2,30 €). Le pardessus en poil de rayonne est solide et peut se nouer d'une ceinture de cuir brun et le béret n'est pas du tout en castor.
A gauche, le 7/8e est en Crylor, le lépoard, au centre, est né d'une formule chimique avec des poils... de rayonne et la veste écossaise est en Nylhair-Wool.
L'imitation fourrure, il faut l'adopter avec un clin d'oeil plein d'humour. Jetez-vous dans le faux (mais pas dans la fausseté) conseille ELLE. Si vous mourez d'envie d'avoir des cils longs comme ça, utilisez les faux cils (mais seulement pour une sortie exceptionnelle car, finalement, les vrais, bien brossés, sont beaucoup mieux) affirme ELLE.
ELLE prépare déjà les cadeaux et les a dénichés dans le monde entier. Par exemple au Mexique. Pas besoin d'aller trop loin, ces objets sont en vente à la Maîtrise des Galreies Lafayette de Paris.
Mais la France n'en est pas pour autant oubliée, et Noël sera célébré tout en doré, des gants bordés de vison à la tenue d'après-ski pailletée.
Les robes de charme sont subtilement séduisantes.
La robe de dentelle à manches volantées est signée Chloé.
Celle de mousseline noire brodée de jais est elle aussi signée Chloé.
La robe de mousseline rose est de Simone Robin, celle de mousseline feu de... Chloé.
Sur le thème "Je sors ce soir", ELLE propose une collection de patrons à réaliser dans de la mousseline, du lamé, du satin...
La plupart des modèles sont anonymes, sauf la robe rouge N° 3146, signée Louis Féraud.
Ce numéro de ELLE présente les épisodes 3 et 4 de la garde-robe de Madame X. C'est une jeune femme bien habillée par elle-même. Elle s'est donc fabriqué un manteau de velours de laine à col de fourrure amovible. Elle en détaille les étapes de fabrication.
Madame X a également cousu sa robe de petit dîner, de couleur aubergine, qui se marie avec son manteau vert foncé. Elle a voulu cette robe très parisienne et l'a taillée dans un crêpe gaufré.
Habiller son lit quand il fait froid, c'est presque un travail de spécialliste. ELLE donne ses conseils et prend pour exemple un baldaquin de style colonial américain.
Vivement lundi prochain !
11:25 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : mode, elle, magazines, vintage, catherine spaak, fourrure | del.icio.us | Facebook
samedi, 22 novembre 2008
Coin de fenêtre
Remiser - déjà - le caban. Sortir pour de bon le renard vintage. Serrer les dents. Et se dire que, dans six semaines à peine (déjà ? enfin ? rayer la mention inutile), ce sera les sooooooooldes d'hiver !
14:30 Publié dans Le temps me fuit | Lien permanent | Commentaires (22) | del.icio.us | Facebook
jeudi, 20 novembre 2008
Le cas du caban
Bon, je vais être franche. Mon caban n'a donc rien d'un Givenchy par Tisci. Mon caban a-t-il 3, 4, 5 ans ? En fait, je n'en sais rien. Mon caban est une fin de soldes ramassée à moins 70 % chez 1.2.3. où je n'achète quasiment que des accessoires, ultra-bradés tant ses collections me semblent généralement quadra et pas trendy du tout, pour le coup. Je sais, 1.2.3. soutient la jeune création de mode à Hyères. Ben juste ça se voit pas dans ses magasins. Sauf peut-être des fois pour les mini-lignes de créateurs, éditées de manière si confidentielle qu'elles ne franchissent jamais la porte de "mon" magasin 1.2.3. où les vendeuses continuent paisiblement à vendre de la veste de cadrette bancaire tout en ignorant son existence (à la jeune création de mode, ça suit ?).
Or donc, était-ce en 2003, 2004, 2005 ? Une chose est sûre, c'était en janvier, tout le monde en avait marre et attendait les collections été, je suis entrée chez 1.2.3. par désoeuvrement et j'ai avisé un caban noir dont le prix ne devait plus guère excéder les 50 €. En pure laine. Woolmark. Bien coupé. L'intemporel. Le genre de pièce que j'ai toujours beaucoup de mal à acheter. Et à porter. Un peu comme mon trench beige Rozier, qui prend la poussière dans un coin. Mais que j'achète quand même, ce genre de pièce, quand c'est ultra-bradé, me disant que tiens, ça peut servir, un jour d'inspiration absolue. Et plus, souvent, en fait, ça finit par servir un jour de non-inspiration absolue.
Mais bref.
(c) Accro de la Mode
A voir refleurir des cabans, j'ai ressorti le mien du placard.
Isabelle, avec son magnifique dessin, a parfaitement résumé l'affaire : le caban s'entend comme larron en foire avec le jean flare.
Voire, avec un petit bout de dentelle écrue.
Et aussi, comme sur le dessin d'Isabelle, donc, avec une douce et longue écharpe.
Le genre de compagne indispensable des jours frisquets de novembre.
Un caban long comme celui-ci, c'est presque un manteau court. Je l'ai passé sur ma robe-pull noire à manches chauve-souris, pour voir.
Et là, je me marre.
Parce que dans la vraie vie que je vis, le caban des jours de non-inspiration absolue finit plus souvent qu'à son tour sur un jean slim.
Un peu élimé, le jean slim.
Caban 1.2.3., jean flare Avant-Première, low-boots New Look ; blouse dentelle Kookaï, écharpe Promod ; robe Avant-Première, low-boots Fly London ; jean slim Gap, bottes La Redoute.
17:30 Publié dans Trendyméquadra/quadramétrendy | Lien permanent | Commentaires (29) | Tags : caban, 1.2.3. | del.icio.us | Facebook
mercredi, 19 novembre 2008
P'tit supplément de Milk
Comme l'année dernière, le magazine Milk a sorti un hors-série déco à 15 €.
Comme l'année dernière, je l'ai acheté, en râlant que "s'embêtent pas chez Milk, 15 € pour 140 pages, certes dépourvues de pub et à reliure cartonnée, 15 €, non mais quand même des fois ?"
Comme l'année dernière, j'y ai pioché une mine d'idées, me manque juste la place pour les mettre à exécution tout de suite maintenant. Et un peu de temps.
Déjà, j'ai beaucoup aimé la couv' et la référence au conte de la Princesse au Petit Pois.
A Londres, chez Emma et Bertrand, j'ai aimé le jeu de cartes vintage dans un cadre qui fait aussi étagère.
A Londres toujours, chez Ashlyn, j'ai aimé la cheminée blanche à bordello et les vêtements qui font partie du décor.
A Dubaï, chez Zaïan, j'ai aimé le meuble d'entrée repeint en blanc, du style de ceux qu'on trouve pour quelques euros dans n'importe quel dépôt-vente ou vide-greniers.
A Montreuil, chez les Ich et Kar, j'ai été fascinée par cette invraisemblable accumulation d'épices qui squatte la cuisine.
A Amsterdam, chez Rachel et Jean-Paul, j'ai été enchantée de cette maison de poupée qui était le rêve de leur fils.
Oui, de leur fils.
Pour les âmes sensibles qui déjà s'inquiéteraient quant au salut de la virilté de cet enfant, voici une seconde photo le montrant avec son épée. A l'approche de Noël et de son exaspérante farandole de catalogues de jouets aux immuables représentations toutes plus sexistes les une que les autres, dois-je préciser que cette petite claque aux clichés venue des Pays-Bas m'a définitivement mise de bonne humeur ?
14:35 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (36) | Tags : milk, mode, déco | del.icio.us | Facebook
mardi, 18 novembre 2008
T'as ton caban ?
Ces derniers temps, quelques posts évoquant le caban (notamment ici et encore ici) m'ont donné envie de ressusciter ma rubrique Petit précis de vocabulaire de la mode.
Curieusement, L'Histoire de la Mode Masculine de Colin McDowell (Editions de la Martinière) n'y fait aucune allusion, au caban. On y trouve bien la vareuse, mais de caban, point.
Le caban est pourtant la pièce masculine repensée au féminin par excellence puisqu'il arrive en droite ligne du vestiaire de la Marine.
Sur son site, la traditionnelle marque Armor Lux apporte quelques éclaircissements : Le caban fait partie de la tenue réglementaire des marins depuis le Second Empire (1853). Il était réalisé par les matelots eux mêmes qui savaient le rendre imperméable au moyen d’un apprêt constitué de goudron, de suif et d’huile de térébenthine. Mmmmmh, voilà qui met en appétit.
Aujourd'hui le caban continue de se porter au masculin et ne se vend pas seulement dans les coopératives maritimes.
Sur son site, Sandro met le sien en avant.
Et cela n'a pas échappé à Jalouse, qui, dans son numéro de novembre, a habillé de Sandro Tim, des "baby et rock'n roll" Tatianas.
Mais les femmes s'y sont mises aussi. Comme il l'a fait pour le smoking, Yves Saint Laurent a adapté le caban au vestiaire féminin dès les années 60.
L'année dernière, Ricardo Tisci a fait de même pour Givenchy.
13:38 Publié dans Petit précis de vocabulaire de la mode | Lien permanent | Commentaires (30) | Tags : mode, givenchy, ricardo tisci, armor lux, saint james | del.icio.us | Facebook
lundi, 17 novembre 2008
Le style des femmes fatales le 10 novembre 1975
Le style des femmes fatales se décrypte, c'est ce à quoi s'est attelée la rédac mode de ce ELLE du 10 novembre 1975.
Mais bien avant, dès la page 6, ELLE se demande, avant que s'achève cette illusoire "Année de la femme" qu'est l'année 1975 si on peut à la fois être féministe et mariée. Soit la question que personne n'a posée : comment concilier nos luttes libératrices avec l'état de mariage, qui perpétue encore ces solides traditions d'oppression, ou d'aliénation, ou de dépendance que justement toute femme tant soit peu éveillée essaie de refuser ? Geneviève Doucet signe un article dans lequel elle espère que les femmes pourront un jour prochain ne plus se couper en deux et opter pour l'une ou l'autre part d'elles-mêmes, laissant un peu de côté leur dévouement à la famille pour être habitées par leur propre personne.
Et les femmes fatales, donc ? Elle ne sont pas grandes, elles sont longues. Elle ne sont pas maigres, elles sont minces. Elles ne sont pas brunes, jamais, elle sont toujours blondes. Ah ouais ? Et Ava Gardner, elle était blonde, peut-être ? Bref. Jolie série tout de même. Inspiration Joan Crowford en jupe à bretelles signée Karl Lagerfeld pour Chloé.
Inspiration Veronika Lake en Castelbajac pour Amaraggi (à gauche).
Inspiration Carole Lombard en Missoni et escarpins Maud Frizon (à droite).
Inspiration Rita Hayworth en Castelbajc et bijoux tiany Chambard (à droite).
Rai de lumière sur la lingerie. Le mot combinaison est vraiment à la mode note ELLE. Elles étaient les vedettes de la lingerie 1930. Elles sont signées Dior (à gauche) et Valisère (à droite).
Il y a quelque chose de changé dans les rues et sur les routes de France. On a fabriqué 1.290.000 bicyclettes en 1970 et 2.500000 en 1974. ELLe les imagine déjà plus nombreuses que les voitures...
Comme dans un rêve ? A côté de ceux qui ne peuvent vivre que dans la pure rigueur, il y a ceux qui ne se sentent à l'aise que dans la surcharge.
Une abondance de soies drapées et de velours capitonné à regarder comme de simple témoignages d'une certaine façon de vivre, prévient ELLE.
Les Idées ELLE proposent une leçon de pose de rouge à lèvres et une robe de petite fille à broder.
Le lama court les rues, on l'achète chez Anastasia, rue Saint-André-des-Arts.
Le Bon Magique propose une jupe droite et une jupe ample, pour 85 et 75 F ( pour un ELLE à 4,50 F soit 43,44 et 38,33~€ pour un ELLE à 2,30 €).
La beauté de la poitrine est-elle menacée si on ne porte pas de soutien-gorge ? Non, selon ELLE, si elle est petite et en forme de demi-pomme. En cas de grossesse, de sport, et au-delà du 90, c'est soutien-gorge obli.
Au dos du magazine, la fiche tricot est un pull rayé à capuchon.
Vivement lundi prochain !
13:22 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (25) | Tags : mode, elle, vintage | del.icio.us | Facebook