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mercredi, 31 décembre 2008
Météo torsadée
Alors, dehors, c'est comme ça ?
OK. Du coup, dedans, c'est comme ceci. Genre giga-maille Atelier Michel Klein. Genre, hein.
Je vous souhaite un douillet passage à 2009...
La dernière fête du lien sera pour Miss Doodle, l'une de mes jolies découvertes de 2008, et qui célèbre son 100e billet en français.
12:15 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (22) | del.icio.us | Facebook
lundi, 29 décembre 2008
Brigitte Bardot styliste le 20 décembre 1976
Robes de fêtes et styliste nommée Bardot, annonce la couv' de ce numéro de ELLE du 20 décembre 1976.
Brigitte Bardot a souvent figuré sur la couverture de ELLE et vient de présenter chez Réal sa première collection de prêt à porter.
Elle parle à Elisabeth Stelescot de son rapport à la mode (cliquer sur les photos pour lire l'intégralité de l'interview).
L'ami Pierrot a troqué son violon contre une guitare électrique toute neuve mais il a conservé ses drôles de collerettes et ses airs rigolos. On s'improvise Pierrot ou Pierrotte d'un soir pour faire la fête, avec une collerette de dentelle ancienne posée sur une tenue noire.
On peut aussi jouer les Pierrot en collerette sur col roulé (le tout Popy Moreni).
Ou encore se tricoter soi-même son pull de Pierrot grâce aux explications fournies par ELLE.
La flanelle joue la grande classe. Bottes de chez Sacha de rigueur.
Le Nouvel an se profile et c'est la fête.
On brille, on pétille.
On fait éclater la couleur.
Il n'est jamais trop tard pour se fabriquer une jolie tenue en cas d'invitation de dernière minute. Un foulard, un coupon de chintz et le tour est joué.
ELLE fait ripaille et propose ses meilleures de fêtes.
Le Bon Magique pense lui aussi aux fêtes : tunique sur pantalon, voilà une tenue ni trop habillée ni pas assez. La tunique en lamé or (Pichat et Chaléard) se porte sur un pantalon droit en crèpe de satin de T.S.R. (135 et 95 F pour un ELLE à 5 F soit 62,10 € et 43,70 € pour un ELLE à 2,30 €).
Les Idées ELLE proposent d'illuminer son décolleté avec des strass autocollants.
A moins que l'on ne préfère broder son prénom au fil lurex ou coudre sur son t-shirt un service à thé miniature de chez Porcelaine, rue de Verneuil.
Intégrer la clôture d'un jardin dans la verdure élargit l'horizon. On y pense pour le printemps.
Vivement lundi prochain !
La fête du lien sera pour Couture Carrie, dont je viens de découvrir le blog et qui m'a fait connaître Fifi Flowers, dont j'apprécie le blog illustré.
11:28 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : mode, magazines, elle, vintage | del.icio.us | Facebook
dimanche, 28 décembre 2008
Je n'irai pas faire les soldes (ah, ah, ah !)
Ah, ah, ah, cette blague. Je n'irai pas faire les soldes ?
On peut se gausser, oui, on peut.
N'empêche, pour les soldes, je suis moyennement motivée. Je le sais, pour la bonne raison que je viens d'aller tester ma motivation en Suisse : les soldes y ont déjà commencé. Et ? Et donc, rien. Le grand nada.
Trop de monde/pas assez de rabais : je suis revenue avec un ELLE italien et sans le manteau de tweed Zara repéré en septembre et encore bien trop cher - même soldé - en CHF.
Qui plus est, Bam-Lisa n'a même pas trouvé de chapka. Avec un thermomètre qui s'obstine à demeurer en dessous de zéro, voilà qui est scandaleux.
Mais face aux lumières de Noël, le capuccino était délicieux et m'aura au moins donné l'occasion de tester la fonction photo de mon nouveau téléphone portable.
Pour les soldes, je précise naturellement que le peu que je trouverai dans ma ville que j'aime pas ne comptera pas (ah, ah, ah !).
La fête du lien sera pour Anne et ses vitrines new-yorkaises, je ne ferai pas les soldes, donc, et je compte bien aller me planter devant les vitrines d'Anthropologie d'ici la fin 2009...
01:09 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : mode, zara, soldes | del.icio.us | Facebook
vendredi, 26 décembre 2008
Que grosse maille qui m'aille ! #2
Une amie m'a rapporté un numéro de ELLE du Brésil. Le numéro date de cet été mais on y trouve une série mode démente à base de maille géante qui parle fort bien à mon obession du moment que le froid polaire de cette fin décembre n'est pas parti pour me faire passer. Et même si je ne comprends pas un mot de portugais (sauf le mot tricô qui émaille cette série), les images parlent d'elles-mêmes. Le mélange maille caviar/fleurs/franges d'esprit vintage (m'a particulièrement accrochée.
J'aime le côté spectaulaire de la veste géante aux savants effets de points, tout en n'étant pas fan de la robe longue fleurie.
J'aime aussi le mélange fleurs de tissu et carreaux d'Arlequin.
Et surtout, j'ai bien, bien regardé le pocho, qui ne me paraît pas si compliqué. Quoique, je dois bien l'avouer, j'ai - temporairement - posé mes aiguilles N° 20.
Et cette fois la fête du lien sera pour le Banc de Morues, parce que comme dit la philosophe Milou, chez Teddy Smith, ils sont quand même trop lol.
15:44 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : elle, brésil, maille, mode | del.icio.us | Facebook
mercredi, 24 décembre 2008
Fistful of love
La fin de l'année a du bon. Surtout lorsqu'elle permet de penser qu'il y aura un jour un printemps...
Seulement trois dates en France et l'une d'entre elles programmée pas trop loin de chez moi : j'ai posé mon jour de congé et ai couru acheter mes places.
Le 6 avril, Antony & the Johnsons seront en concert à la Laiterie à Strasbourg. J'y serai. Joyeux Noël et vive 2009 !
La fête du link sera pour Miss Zen et son insolite souris fleuriste.
15:02 Publié dans Le temps me fuit | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : antony and the johnsons, la laiterie | del.icio.us | Facebook
lundi, 22 décembre 2008
Celle que l'on épouse le 22 décembre 1951
Etes-vous celle que l'on épouse ? interpelle ELLE sur la couverture de ce numéro du 22 décembre 1951 qui m'a été offert dernièrement par mon adorable lectrice Sunny Side.
Il y a 8 types d'hommes et de femmes, assène Marianne Andrau. A chacun sa chacune ? Pas si simple. Ainsi, la beauté ne se verra jamais épouser que par Marc le vaniteux, qui verra en elle un trophée ou par Philippe l'ambitieux, qui sachant que c'est par les femmes que l'on arrive, saura utiliser son charme à bon escient.
Ni le timide, qu'elle effraie, ni le créateur qui se contentera de la peindre, ni le conventionnel qui a peur de ce qui sort des normes, ni le solitaire, ni l'énergique ni le fils de famille ne sauraient être, pour elle, des maris potentiels. La semaine prochaine, promet ELLE, on saura où trouver les jeunes gens à marier.
Même le courrier du coeur de Marcelle Ségal se met à l'heure de Noël, avec sa chaumière sous la neige. Il y a aussi des garçons, qui écrivent à ELLE. Et pas forcément pour QUE pour des histoires de filles. Jocelyn, lycéen de 16 ans, écrit à Marcelle parce qu'il voudrait apprendre l'accordéon et que ses parents le lui refusent, parce qu'il voudrait être journaliste quand ces mêmes parents le voient médecin, et parce qu'il aime follement une fille de son âge sans savoir comment lui avouer ses sentiments. Faire de l'accordéon en cachette et n'en parler aux parents que si Jocelyn a des prédispositions, passer d'abord son bac et être gentil avec la demoiselle, sans pour autant être humble ni suppliant, tels sont les conseils prodigués par Marcelle.
Dix-huit petits enfants vont échapper à un Noël froid, sinistre et impitoyable grâce à l'appel lancé par ELLE à la générosité de ses lectrices.
Ana Figueroa siège à l'ONU, en qualité de présidente de la Commission des Droits de l'Homme et de déléguée du Chili. Très occupée, elle essaie chez elle, à 7 h du matin, ses robes de Dior. A 43 ans, Ana est divorcée et est l'une des plus jolies femmes du Palais de Chaillot. Parce que, se croit obligé de préciser ELLE, Ana Figueroa a toutes les qualités d'un homme auxquelles elle joint le charme d'une jolie femme.
François Mauriac analyse sur deux pages de quoi est fait le bonheur de la nuit de réveillon.
Vos lèvres parlent malgré vous révèle Alice Chavane. La bouche reflète tous vos instincts, les instincts supérieurs comme les autres...
Petite leçon de pose de rouge à lèvres en prime.
La feutrine fait fureur. Ni surfilage, ni ourlet : une jupe en feutrine est économique et facile à faire.
On y pose des serpentins de feutre noir ou des galons or.
Comment elles attendent le père Noël titre ELLE. Simone Simon installe son premier appartement et fêtera Noël en robe de tulle étoilé de strass de chez Balmain.
Michèle Morgan s'apprête à tourner avec Jean Gabin l'histoire d'un couple qui détruit lui-même son bonheur. Elle fêtera Noël en robe de tulle rose et satin blanc signé Fath.
La meilleure farce à faire, c'est celle de la dinde du réveillon, évidemment.
Il n'y a pas seulement une première dame de France. Il y a aussi le premier sapin de France. ELLE a suivi son installation à l'Elysée.
Pas une mince affaire.
On joue quitte ou double avec les précieuses doublures de manteau que l'on quitte en une seconde grâce à des astuces de boutonnage et de fermeture à glissière.
Le patron du cache-poussière du soir sera fourni aux lectrices qui en feront la demande.
Dans la vieille tradition de Polichinelle et de Colombine, on réalisera son Arlequine "vivante" en cinq minutes.
Vivement lundi prochain !
Je n'ai pas oublié la fête du link (enfin, sauf sur le dernier billet !) : la chambre de mon fils est blanche, rouge et orange, et je m'agace souvent face à ce conditionnement induit par l'hégémonie du bleu-pour-les-garçons-rose-pour-les-filles. Le post consacré par Foley au Pink and Blue Projects d'un artiste coréeen m'a donc particulièrement interpellée...
11:13 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (26) | Tags : mode, magazines, elle, vintage | del.icio.us | Facebook
samedi, 20 décembre 2008
Bestiaire tout coton
Dans le dernier numéro de Milk, que j'ai à peine eu le temps de feuilleter, je suis tout de même tombée en arrêt devant les créations de Marianne Peltzer. Fascinée par les lapins que lui fabriquait sa baby-sitter à partir d'une serviette de table, elle en a repris le principe pour élaborer un fabuleux bestiaire à partir de vêtements de bébé puisés dans la collection de Petit Bateau.
Le lapin est fait d'une brassière, d'un body et de deux boutons rouges.
La souris comprend deux bodies et deux boutons.
La chouette a réclamé une culotte, une chemise à bretelles, 184 étiquettes et deux boutons.
La sauterelle est fabriquée à partir d'une chemise à bretelles et d'un bouton.
Et il y en a encore bien d'autres...
14:58 Publié dans Tout en couleurs ! | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : milk, petit bateau, marianne peltzer | del.icio.us | Facebook
jeudi, 18 décembre 2008
Le cas du slim en cuir
J'avais dit pas de tregging. Déjà, ce nom ? Non mais, ce nom ? Alors, rester avec mes vieux souvenirs de slim (qu'on n'appelait d'ailleurs pas comme ça) en vinyle d'il y a... pfffff, au moins 15 ans, ça m'allait bien. A moins qu'un slim en cuir, peut-être ? Mouais. Peut-être.
Ca, c'était pour le début de saison.
Et puis le gros catalogue (celui que j'ouvre à peine, en fait, parce que tout se passe sur internet, désormais) s'est rappelé à mon bon souvenir avec ses mails qui clignotent et ses réductions de folie, encore plus fort que la fête des soldes promise en janvier. J'allais quand même pas lui résister ?
Aucune résistance, je n'ai donc opposé. Un cuir d'agneau souple et doux et une réduc' de 60 % avec un prix passé de ce fait en dessous de la barre des 60 euros n'ont pas eu de mal à me convaincre de tenter l'aventure.
Le slim en cuir aime mon it-tour de cou en alpaga.
Le slim en cuir est peut facilement s'assortir à mon sapin de Noël.
Le slim en cuir a su me faire sortir du placard ma-blouse-en-soie-à-lavallière-que-je-ne-mets-pas (aidé en cela par le pardessus, mais j'y reviendrai).
Le slim en cuir ne brille pas autant, en vrai. Mais décembre reste décidément le meilleur allié de EDF...
Détails : slim en cuir La Redoute, t-shirt/pull asymétrique en laine Comme des Garçon pour H&M, it-écharpe infinie home-made, vieilles boots Charles Jourdan ; débardeur pailleté New Look, gilet H&M homme, derby La Redoute ; blouse en soie et pardessus La Redoute.
Et la prochaine fois que je vais à Paris, ce ne sera pas pour faire les soldes, quelle idée ? Non, j'irai traquer tous ces graffitis que je ne vois jamais, trop occupée que je suis à lécher les vitrines. Comme le chat de la rue Bonaparte, objet de ma fête du link du jour, qui a été immortalisé par Lavieenrouge.
10:54 Publié dans Trendyméquadra/quadramétrendy | Lien permanent | Commentaires (37) | Tags : slim, cuir, la redoute | del.icio.us | Facebook
mardi, 16 décembre 2008
Et hop, un sapin pop !
Voici déjà quelques jours qu'il est sur pied, ce sapin pop que j'avais annoncé, mais il manquait un peu déclat. Le jeu de brillances et de transparence des pastilles de plexi ne suffisait pas.
J'ai rajouté quelques lumières, pour davantage de reflets. Pop début 70's en haut...
...ma déco de sapin dérive vers le disco de la fin des seventies et ses boules à facettes au fur et à mesure qu'on progresse vers le bas.
Et c'était sans compter sur le petit monstre cyclope qui a su me faire de l'oeil chez Monop' pour une touche de vert pomme façon 2008.
Tant pis, mon sapin n'entendait de toutes façons pas jouer dans la cour des pop modèles...
Et parce qu'on n'en a jamais fini avec la quête du style, la fête du link aujourd'hui sera pour Mariga(z) et les deux passionnants billets qu'elle a consacrés au sujet.
14:42 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (29) | del.icio.us | Facebook
lundi, 15 décembre 2008
Ah ! Les hommes, le 14 décembre 1987
Mais le choix fut cruel et il aura falllu avant d'y parvenir de farouches empoignades. Il n'est pas beau, il est bien, écrit Marie Muller de Lambert Wilson. C'est une grande chose pleine d'épaules.
Rupert Everett mesure plus de 1,90 m et ne se trouve pas séduisant, se qualifiant d'échalas.
Sous le portrait en vignette d'Alain Finkielkraut, figure la mention le charme de l'intérieur. Ca serait pas une vacherie, ça, dites, les rédactrices de ELLE ? Non non, l'intéressé lui-même explique : en veillissant, j'ai fini par comprendre que le charme n'est pas forcément lié au physique. Adolescent, je croyais que suels les apollons avaient leur chances. J'ai grandi avec ce malentendu, qui m'a comblé de complexes.
Fils de légende, Paul Belmondo est tout velours dehors et tout velours dedans. Il se dit assez lent, peu apte à la drague. Le numéro du tombeur, c'est un numéro de clown.
Américain dégingandé de 46 ans, Peter Coyote a une façon de vous reluquer comme si l'on était rarissime. Il se définit comme un homme qui aime les femmes, sans crainte et sans reproche.
Vincent Lindon est le Monsieur Jourdain de la séduction. Je n'ai pas de look, résume-t-il. Mais il a , dit ELLE, un charme pataud de grand adolescent aux ongles rongés qui chercherait désespérément à passer inaperçu.
La réalisation des portraits de ces séducteurs a été confiée à Greg Gorman. Le photographe des stars les photographie comme des êtres humains et explique que quand on passe sa vie l'oeil collé à l'objectif à scruter des visages, on décèle le pour et le contre en quelques minutes.
Un page complète montre le photographe photographié avec quelques-uns de ses prestigieux "cobayes".
Dans Ishtar, qui sortia le 16 décembre, Dustin Hoffman et Warren Baetty ont Isabelle Adjani pour partenaire, même si l'actrice française ne fait dans le film que quelques apparitions fugaces.
Agés tous deux 50 ans, Dustin Hoffman et Warren Baetty incarnent deux chanteurs ringards, occasion rêvée de deux grands numéros d'acteurs. L'un mesure 1,65 m et l'autre 1,83 m, l'un était un gamin juif de Los Angeles couvert d'acné, l'autre un footballeur romantique et athlétique à Richmond, en Virginie.
Le film n'est ni la catastrophe annoncée, ni un triomphe auprès du public américain, sans doute incapable de regarder au second degré les aventures comico-policières de deux chanteurs de cabaret de troisième zone, juge Renaud de Dancourt, qui a rencontré les deux acteurs.
Michel Serrault est un Don Juan méconnu. Si le cinéma l'a souvent marié, et parfois avec des femmes ravissantes (Romy Schneider par exemple), c'était toujours pour le pire ; et le seul couple heureux qu'il ait formé, c'était au théâtre avec Poiret dans La Cage aux Folles. Mais cela change, note ELLE : dans Ennemis intimes, de Denis Amar, Michel Serrault conserve sans trop de difficuléts une épouse de 23 ans interprétée par Ingrid Held. Pour le rôle, il s'est vêtu avec soin chez Kenzo.
Ce qui ne change pas tant que ça, ce sont les prix littéraires : sept lauréats parmi lesquels une seule lauréate.
Oliviero Toscani signe une série mode sur l'inimitable fausse fourrure. Interprétée par les créateurs, elle se prête à toutes les silhouettes. Le faux mouton doré est signé Castelbajac.
Le manteau à capuche en imitation renard est signé Popy Moreni.
Chez Ramosport, on joue le faux lynx.
Dans les 80's, on est une femme d'action. On enchaîne la soirée sur la journée et on ne rentre même pas se changer. On a recours pour ça à une chemise trop maligne de chez Equipment.
On connaît la perfection d'un cardigan en laine à boutons de velours de chez Peggy Roche.
On apprécie le côté tout terrain d'un trench court d'Anne-Marie Beretta pour Ramosport.
Les tailleurs se réchauffent sur un air de country. Avec stetson et santiags. A gauche, un tailleur en cuir noir d'Alaïa épouse un spencer mexicain (Mexico Lindo) et à droite, la veste de tailleur croisée (Billy Bonny) s'affiche avec un cardigan en maille et toile de Jean-Paul Gaultier.
A gauche, le tailleur en cuir noir d'Alaïa est associé à un authentique poncho mexicain et à gauche le tailleur tennis de chez Apostrophe se pose sur une chemise de cuir noir comme des Garçons, le tout porté sous un authentique caban marine de chez Kili Watch.
Le tailleur classique gris Regina Rubens se porte sous un trois quarts en cuir noir surpiqué de blanc (Free Lance) et sur une authentique chemise mexicaine.
Le naturel revient en cadeau sous forme de papier kraft ou de carton ondulé.
Trois soirs en fête pour le Bon Magique. Le tube stretch de différentes longueurs s'allie à une blouse de satin à lavallière et un gilet en maille.
Vivement lundi prochain !
Parce que quelques tulipes assorties de sandales rouges et d'une touche de Betty Boop ne font pas de mal dans la froide lumière de décembre, la fête du link se poursuit avec Miss Glitzy, Boop Boop Be Doo !
EDIT : Mzelle Fraise m'a demandé par mail si je voulais bien me faire le relais de l'annonce du rassemblement qui aura lieu mercredi au Trocadéro en faveur de Aung San Suu Kyi, et je m'éxécute bien volontiers : toutes les infos sur le billet qu'elle a consacré à cette initiative, par ici.
11:34 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (28) | Tags : mode, magazines, elle, vintage, isabelle adjani, warren beatty, dustin hoffman | del.icio.us | Facebook