lundi, 27 février 2012
Une pas si sage affaire
Longtemps qu'on n'a pas causé de vernis, ici ?!
Même pas de Essie...
Ni non plus de Peggy Sage, dont j'avais pourtant prévu de reparler, il y a... vaut mieux pas le dire, tiens.
Oui, le flacon a un look vintage qui semble tout ce qu'il y a d'authentique et d'involontaire, tant il donne l'impression de pas avoir dû être modifié depuis pas mal d'années...
Mais la gamme de couleurs est tout ce qu'il y a d'actuelle, et tient la comparaison avec la concurrence, y compris au chapitre de la vogue des éditions limitées. Parmi les trois teintes récemment acquises, ma préférée est ce rose vintage qui porte si bien son nom.
Quant au rapport qualité/prix de cette marque tout aussi américaine que les illustres OPI et Essie (mais qui propose, elle, d'autres produits cosmétiques et de maquillage), rien à dire, c'est deux Peggy contre un Essie, trois Peggy contre un YSL ou un Chanel, avec un prix de flacon tournant autour de 6 euros. Et une tenue qui vaut bien celle de la concurrence, sachant que la tenue m'a toujours paru davantage relever de la qualité de la pose et de la famille de teinte choisie que de la marque en elle-même, ce que m'avait d'ailleurs confirmé Alexandra, de chez OPI.
Il n'est pas dit d'ailleurs que la marque s'en laisse conter sur le terrain de la hypitude, puisque le site annonce l'ouverture d'un concept store à Lille. Mais côté comm', cela reste encore limité (oui, j'ai acheté mes vernis dans un point de vente lambda d'ailleurs pas si facile à trouver), puisque si L'Express Style est allé demander conseil à l'une des manucures maison, la revue de presse encore assez mince comporte parmi les titres cités Closer, Voici et Mode & Travaux...
A quand les ELLE, Grazia, Vogue & co ?
Pour le charme vintage, une petite galerie de pubs anciennes a été mise en ligne (ici, une image de 1949).
Tout ceci ne m'a pas empêchée de céder aux sirènes très marketées d'Essie Weingarten, dès lors que ses vernis ont atterri, avec retard et dans une gamme de couleurs limitée, dans le Monoprix de ma ville que j'aime pas.
On ne se refait pas...
PS : rien à voir avec le sujet mais ces pimpantes jacinthes incroyablement parfumées (et d'origine alsacienne !) m'ont été vendues par une fleuriste passionnée par son métier, qu'elle s'emploie à exercer de la manière le plus éthique possible et qui m'a délivré un cours express d'économie-géopolitique. Tout n'est pas rose non plus, dans le monde des fleurs...
13:28 Publié dans Parlons beauté, voulez-vous ? | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : mode, vernis à ongle, essie, essie weingarten, peggy sage | del.icio.us | Facebook
Commentaires
Pas mal les vernis Peggy Sage. Par contre, j'ai eu des problèmes avec le flacon : 4 vernis de la marque se sont cassés (et pas le même jour, sinon ce n'est pas marrant) dans ma mallette qui ne bouge jamais (!) au niveau du bouchon... Alors je te laisse imaginer le massacre...
Écrit par : CECILE | jeudi, 01 mars 2012
Les commentaires sont fermés.