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dimanche, 22 février 2009
Coin de ciel bleu
Open the 6'th picture-folder on your computer // open the 6'th photo and blog it // Write something about it //
Yeah !
Voilà, c'est fait, selon le désir exprimé par Yeah Yeah Girl.
Après avoir traversé, en ce dimanche, pluie, brouillard et neige, j'ai jugé que ce coin de ciel bleu - que j'avais photographié dans le Marais il y a quelques mois - tombait on ne peut mieux pour me convaincre qu'un jour plus si lointain le printemps reviendrait.
Then tag 6 more people to do the same.
Euh, non. Qui veut fera de même.
16:22 Publié dans Le temps me fuit | Lien permanent | Commentaires (14) | del.icio.us | Facebook
vendredi, 20 février 2009
T'as ton pardessus ?
Le pardessus est un classique de la garde-robe masculine. Malgré ça, je n'ai pas trouvé des masses d'infos à son sujet. Voici ce qu'en dit cependant le Dictionnaire de la Mode au XXe siècle, ouvrage collectif dirigé par Bruno Remaury (Editions du Regard) : Dans une définition datant de 1810, c'est un vêtement que l'on met par dessus tous les autres pour se protéger du froid, et qui désigne plus précisément un ample manteau d'homme. Par la suite, ce terme désignera pendant tout le XIXe siècle tout vêtement de dessus féminin, classique ou fantaisie. Le mot pardessus n'est appliqué exclusivement au manteau masculin qu'à partir du début du XXe siècle.
Comme je le fais souvent, j'ai acheté cet automne Vogue Hommes International.
Qui vaut presque davantage par les - nombreuses pages de pubs qu'il contient - que par les séries mode proprement dites. C'est pas tous les jours que je croise du cow-boy.
Ces séries mode ne doivent pas inspirer des masses l'homme de la rue, si j'en juge par le style des séries en question, rapporté aux tendances vestimentaires des spécimen de genre masculin qu'il m'est donné de cotoyer, et au-delà, de ceux croisés en ville (en ville, au sens générique du terme, ne parlons même pas de celle que j'aime pas, de ville, si vous le voulez bien).
Bref. Ces pages de pub, en cet hiver 2008/09, étaient donc pleines de beaux gosses en pardessus, comme chez Paul & Joe.
De beaux gosses en pardessus.
De beaux gosses en pardessus.
De beaux gosses en pardessus (éventuellement en bonne compagnie).
De beaux gosses en pardessus. D'hommes nus, même, parfois (et mariés) sous leur pardessus... à poils. Mais évidemment, chez Marc Jacobs, on ne fait jamais rien comme tout le monde...
Le pardessus a trop de qualités pour que la mode féminine n'ait pas été tentée de s'en emparer. Ce sera l'objet d'un prochain Quadramétrendy.
11:40 Publié dans Petit précis de vocabulaire de la mode | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : mode, pardessus, hermès, paul & joe, paul smith, marc jacobs, burberry | del.icio.us | Facebook
mercredi, 18 février 2009
Tea party dans la penderie
J'avais atterri sur son blog à l'automne en cliquant sur le lien d'un commentaire, je ne sais d'ailleurs plus depuis chez qui. Et j'avais tout simplement adoré ce Journal d'un vieux Pull en Mohair, laissant au passage, à mon tour, un petit lien sur son blog. Et puis le temps a passé, et lorsque j'ai eu l'idée de retourner le lire, je ne suis jamais parvenue à retrouver sa trace. J'étais très déçue que ce blog soit ainsi allé se joindre à la cohorte des blogs perdus de vue, mais l'affaire semblait sans espoir.
Jusqu'à ce jour inespéré de janvier où le Vieux Pull m'a écrit pour me proposer une tea party dans sa penderie. Non seulement ce mail m'a permis de reprendre le fil de ses aventures mais il m'a aussi offert l'occasion de vivre avec lui une très belle expérience blogosphérique, à découvrir ici.
D'emblée, mon manteau brodé de chez Rützou m'a semblé être l'invité idéal pour cette tea-party. Voilà une pièce de choix, qui a vécu, qui a du recul... et pas sa langue dans sa poche. Notre histoire a commencé à l'automne 2005 par un petit entrefilet dans ELLE, présentant quelques pièces de la collection de Suzanne Rützou, que je ne connaissais pas jusqu'alors. Rien que par ces quelques photos, j'ai su que cette marque et moi aurions bien des affinités. J'ai tout de suite compris aussi que mes chances d'acheter des pièces Rützou dans ma ville que j'aime pas étaient nulles.
Un petit miracle s'est pourtant produit fin janvier de l'année suivante dans une autre ville, lorsque, écumant les fins de soldes, je suis tombée sur le fameux manteau brodé de la photo à ma taille... et à moins 70 %. J'en ai profité pour m'offrir le t-shirt en soie figurant sur la silhouette à la blouse à carreaux et une jupe réalisée dans le même lainage pailleté que l'étole. Quelques mois plus tard, sur e-Bay, j'ai acheté pour 20 € la petite blouse noire à paillettes argent.
Sur le site de la marque, j'ai jeté un oeil à la dernière collection et cet été je me laisserais volontiers tenter par de genre de silhouettes-ci.
Ou encore par ce genre de silhouettes-là.
Mais depuis, mon dépositaire de came a hélas laissé tomber Suzanne...
16:27 Publié dans De quoi être fière | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : mode, rützou | del.icio.us | Facebook
mardi, 17 février 2009
Le cas du collant pailleté
Je l'ai shoppé au premier jour des soldes.
Je l'avais repéré depuis un moment sur le site de Modetrotter, ce collant Noro avec ses détails en lurex, mais je n'avais pas de sandales fauve pour le porter comme je l'entendais.
Alors certes, au premier jour des soldes, je n'avais toujours pas de sandales fauves comme je les voulais mais je l'ai quand même shoppé. Et une fois reçu, rien de ce que j'avais ne lui allait non plus comme j'aurais voulu.
Je me doutais pourtant qu'il ne perdait rien pour attendre.
D'un seul coup d'un seul, une séance shopping de début de saison et je lui ai trouvé les sandales fauve et le boyfriend short en jean qui lui convenaient.
OK, j'avais simplement oublié que lorsque je regarde par la fenêtre, le spectacle est toujours obstinément le même...
Sweat American Vintage, écharpe rayée de lurex Monoprix, short taillé dans un jean L.O.G.G. H&M homme, collant Noro, sandales André.
EDIT : quoi, comment, me récrié-je à la lecture de commentaires laissés par des lectrices qui penseraient m'avoir ainsi percée à jour, j'aurais acheté des sandales fauve suite à l'achat de mon collant bleu à fils de lurex ?
Mais que nenni !
Voici déjà 15 mois que je suis en quête de sandales fauve à porter avec de gros collants. Voire, des chaussettes. Mais on va pas chipoter.
Quoi, comment, je suis de mauvaise foi ?
Allez d'accord, les filles, c'était quand même bien essayé, parce que le coup de l'achat qui entraîne un autre achat qui... pensez si je connais. Et big smiley, hein.
12:33 Publié dans Trendyméquadra/quadramétrendy | Lien permanent | Commentaires (43) | Tags : mode, modetrotter, noro | del.icio.us | Facebook