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mercredi, 23 décembre 2009
En vrac et vite fait en passant #7
*** Orage, ô désespoir : le vernis Orage Yves Saint Laurent est introuvable dans ma ville que j'aime pas. Et pas parce qu'on ne l'y aurait pas reçu, contrairement à ce que j'étais prête à entendre. Il s'y est vendu comme des petits pains (en petit nombre, les pains) m'a-t-on appris lorsqu'il m'est venu à l'idée de me le procurer, vers la fin octobre. Et comme il s'agissait d'une série limitée, pas de réassort possible. J'avais donc fait mon deuil de cette envie de gris (je parle évidemment vernis, pour le reste, la neige bouillasseuse pourvoit largement à une envie de gris que je n'avais d'ailleurs pas) jusqu'à ce que je tombe sur le New York de Mavala. Qui fait largement la blague, à peine moins bleuté peut-être que l'original. Et encore, même pas sûr. Et pour trois fois moins cher.
*** Pas franchement early adopter : non, pas franchement. Mais j'ai cédé aux sirènes du marketing d'utilisateurs qui prétendent qu'après ça, on ne revient plus en arrière. Pas d'Ipod, pas de Mac, rien de la marque à la pomme chez moi, marque certes sûrement pleine de qualités, mais qui m'a toujours agacée avec son petit côté snobinard hors de prix (voilà, c'est dit). Bon, cela étant, le bidule (et son assurance qui va bien, le vol à l'arrachée de la bestiole étant un sport pas mal prisé) est encore dans sa boîte, le temps que je me décide à passer la moitié d'une après-midi à télécharger des trucs et des machins. Et je serai connectée toujours, partout, tout le temps. Un progrès ?
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lundi, 21 décembre 2009
Idées de dernière minute le 21 décembre 1962
Cinq jours avant Noël, ce numéro de ELLE propose des idées d
Pas le temps ? Pas d'argent ? Pas la peine ? Si, pour le réveillon, il faut faire quelque chose ! Une collerette et des poignets d'autruche blanche (vendue en bande au mètre) transforment un simple cardigan noir.
On entremêle postiches et vrais cheveux et, pour les cheveux courts, on choisit des échevaux de fil d'or.
Le froid est là, on se couvre la tête.
Chapeau ou toque, qu'importe !
Cinq modèles mais un unique schéma, on choisit sa longueur et on se lance !
Cadeau inattendu : des couvertures tricotées à la main, vite montées en quelques soirées.
14:17 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : mode, ellenmagazines, vintage | del.icio.us | Facebook
vendredi, 18 décembre 2009
Que ma joie demeure
D'habitude, ici , il y a de l'image.
D'habitude ici, il y a de la joie (bonjour, bonjour, les hirondelles !).
Et là, dans le ciel, par dessus le toit, il y a juste des flocons de neige et une certaine lassitude.
Il y en a une qui s'est barrée. Il y a l'autre, qui y a pensé.
Pour ce qui me concerne, je n'ai pas envie de pleurer. Juste un peu envie de mordre. Esprit de Noël, n'es-tu donc point là ?
Mais je n'ai quand même pas mis 124 ELLE vintage en ligne, sans louper un seul lundi, qu'il vente ou qu'il... neige pour m'arrêter comme ça, de but en... blanc alors que je suis même pas à la moitié de la pile ?
Non, non, je n'ai pas.
Ah, et sinon, juste j'aime pas les fautes d'accord.
16:24 Publié dans C'est que mon avis | Lien permanent | Commentaires (40) | Tags : mode, blogosphère | del.icio.us | Facebook
mercredi, 16 décembre 2009
Au fil des mots... Nathalie Lété
Je ne sais même plus quand, pour la première fois, j'ai été accrochée par une création de Nathalie Lété. C'était probablement par l'une de ces sculptures de carton, il y a bien des années, réalisée du temps du duo Mathias et Nathalie.
Je suis allée lui rendre visite la semaine dernière dans son atelier d'Ivry, où elle organise actuellement, jusqu'à samedi, des portes ouvertes.
Extraits d'une - longue - conversation agrémentée d'un thé et du pépiement des oiseaux.
J'ai bien du mal à la définir en un seul mot ! Je ne suis pas qu'illustratrice, même si j'illustre des textes. Je touche à la céramique, pour Astier de Vilatte, au textile, je dispose de toute une palette créative mais ne peux pas en donner de définition. Je juxtapose, je visualise plein de choses, ça part un peu dans tous les sens. Enfant, déjà, je brodais, je tricotais, je bricolais. Je travaille à partir d'un thème et le décline sur toutes sortes de supports toujours un peu dans cet esprit de bricolage. Par exemple, dans le cas de la céramique, je ne suis pas une technicienne !
Tu utilises toujours la peinture, à l'heure de l'ordinateur ?!
Eh oui, je travaille à l'ancienne, à la peinture ! Mes éditeurs, comme la Marelle Editions par exemple, travaillent habituellement à partir de PDF, dans mon cas, ils sont obligés de scanner tous mes originaux... J'ai l'espoir de réunir un jour l'ensemble de mon travail dans un livre. Mais malheureusement, beaucoup de choses se perdent sans que j'aie de photos.
11:51 Publié dans Interviews | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : mode, nathalie lété, astier de vilatte, vilac, la marelle | del.icio.us | Facebook