vendredi, 31 décembre 2010
2010 en 12 images
Janvier
Une quintessence de mélange improbable, comme je les aime. Non, ne dites rien.
Février
Les soldes. Chaque année je pense que c'est surfait, cette histoire, et puis c'est pas comme si j'avais besoin de quelque chose. Et chaque année, j'embarque quelques achats dont certains dont je me félicite longtemps. C'est le cas pour ce sac Paul & Joe Sister bradé et ces boots Salamander, qui n'ont rien de révolutionnaire mais s'accordent avec à peu près tout.
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mardi, 28 décembre 2010
Entre-deux de douceur(s)
La trève des confiseurs, ça s'appelle, cette semaine s'étiiiiiiiiiiirant entre Noël et Nouvel-An ?
Qu'elle s'étiiiiiiiiiiire donc en paix.
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dimanche, 07 novembre 2010
Dimanche soir, en novembre
Oui, il manque singulièrement au paysage, celui-ci.
Et oui, ce sera tout pour aujourd'hui.
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mardi, 12 octobre 2010
Merci, Elisabeth...
C'est une nouvelle arrivée par mail qui est venue assombrir mon séjour parisien, celle du décès de quelqu'un qui, sans l'avoir su, compte beaucoup pour moi : "Elisabeth Kirchberger a enseigné le textile à l'IFM pendant plus de vingt ans. Après avoir accompagné de nombreux industriels durant sa carrière de créatrice textile et de consultante, notamment pour le salon Première Vision, elle a su transmettre, avec passion, son amour des tissus et des matières à des générations d'étudiants et de professionnels. Elle savait mieux que quiconque faire parler les tissus. L'IFM s'associe au chagrin de sa famille et de ses proches."
Je me rends compte non sans émotion que jamais je n'achète un vêtement sans penser à Elisabeth... Que je ne lave jamais rien à la main depuis qu'elle m'a assuré il y a bien des années maintenant que c'était inutile (voilà qui m'arrangeait bien !) : un programme adapté en machine ou le pressing d'office pour les matières les plus fragiles et aucune mauvaise suprise à déplorer.
Je ne savais encore rien de la triste nouvelle à venir lorsque j'ai arpenté les rayons de chez COS. J'ai fait comme à mon habitude, j'ai soigneusement lu toutes les étiquettes des vêtements qui m'interpellaient.
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