Doucement le matin, pas trop vite non plus l'après-midi

Les coulisses de Cannes, un vendredi 13...

Je suis tombée sur cette série de photos publiée sur le site de L'Express, hier, au hasard des clics.

Je ne sais rien de Peggy Sue Ki, sinon que je vais suivre attentivement, chaque jour j'espère, la mise en ligne de ses clichés cannois.

L'abus de revues de déco nuit à la santé (mentale). Grave, il nuit.

Chaque fois que je referme un Marie Claire Maison (et ça marche évidemment aussi avec AD, ELLE Déco, Côté Paris et j'en passe) j'ai la désagréable sensation d'habiter un taudis.

Alors que dire des salons ? Après Maison et Objet en janvier dernier, je pars en cette fin de semaine pour le Salon du meuble de Milan.

Ce que dégage cette photo d'Aimee Mullins - amputée qui alterne les prothèses de jambes comme elle change de sac à main - dépend de l'oeil de celui/celle qui la regarde. Fascination, malaise, admiration ? Les trois à la fois ? Aimee Mullins est une femme hors du commun. Le Figaro Madame en propose un portrait sensible donnant à réfléchir... et à relativiser.

Numérologie, astres, marc de café ou incantations à la lune n'attirent de ma part qu'un sourire amusé teinté de sarcasme. Force m'est cependant de constater que cette année 2011, vieille de seulement 29 jours, a soudainement fait souffler sur ma vie un vent de révolution, comme un modeste écho à ce qui se passe en Tunisie et en Egypte. 

Paraît qu'on peut envoyer ses voeux pour la nouvelle année jusqu'au 31 janvier. Je suis même pas en retard, alors ?

Ahem.