mercredi, 03 mars 2010
Et si on n'a pas son 505 ?
Elle semble pas mal dubitative, Vanessa, non ? Elle l'a, elle, son 505, pourtant, si j'en crois le ELLE de la semaine.
Mais si, LE 505, de son petit nom de code, ce vernis "Particulière" de Chanel, sorti en janvier et sitôt épuisé.
Lorsque je me suis mis en tête de dénicher la bête dans ma ville que j'aime pas, il en restait un unique flacon. Mais impossible de juger du rendu du machin parce que le testeur avait été volé par quelque fashionista désargentée. Déjà que le précédent vernis de la hipness, le Orage de YSL, avait été épuisé en deux temps trois mouvement cet automne, faut croire que ça suit drôlement bien la tendance, pour ce qui est de la couleur de l'ongle, dans ma ville qui-que-quoi. Même si pour le reste, du côté des vitrines notamment, ça se voit pourtant "trop pas".
11:25 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (41) | Tags : mode, chanel 505, o.p.i, over the taupe, you don't know jacques, here today aragon tomorrow | del.icio.us | Facebook
mardi, 02 mars 2010
En vrac et vite fait en passant #13
*** Cata Casta. Gérard Lefort, de Libé, a dit d'elle qu'elle était venue habillée en toute nue. La formule percute mais c'est faux. Laetitia Casta s'est présentée aux César de Saint Laurent vintage (dé)vêtue. Et samedi soir, j'ai débarqué sur Canal pile au moment où elle remettait son César à un Arestrup qui faisait ce qu'il pouvait pour regarder ailleurs. Mais qu'est-ce qui a pris à Laetitia Casta ? Le moins qu'on puisse dire est que cette robe ne s'est pas révélée flatteuse. La pose un peu voûtée n'arrange rien. Pour ne pas parler de cette coiffure de Casta... fiore. Ni de ce maquillage de poupée trop fardée.
Et que dire l'association avec ce trench ? Si ça se voulait un hommage à Yves Saint Laurent, la Casta s'est tout de même bien, bien vautrée. Mais si c'était juste histoire de faire causer, c'est bien joué. Pour un peu on en oublierait le Prophète. Et Jeanne Balibar ? Alors elle, j'ai raté sa prestation. Dont j'ai cru comprendre qu'elle relevait moins de l'art que du cochon. Au sens de l'ouïe, s'entend. J'ai bien cherché une petite vidéo, mais semblerait que la seule dispo se soit finalement évaporée. Et je ne parle même pas d'Adjani, tiens...
Moi je dis que Cannes, si c'est de la même eau, ça fera comme l'année dernière et qu'on n'a pas fini de s'esclaffer.
*** 2010, cinéphile ? Puisqu'on cause cinéma, mon année cinéphile, qui avait démarré fort avec huit films en janvier a connu une sérieuse baisse de régime en février : pas une fois je ne suis allée en voir un en salles.
Un coup de mars et ça repart. Une Education se laisse voir, même si je dois bien admettre que son petit côté moralisateur quelque peu téléphoné m'a laissée sur ma fain.
Je vais enchaîner très vite avec Une vie toute neuve. Et sans doute le Polanski. Et puis, et puis...
11:52 Publié dans En vrac et vite fait en passant | Lien permanent | Commentaires (26) | Tags : mode, cesar 2010, laetitia casta, lone scherfig, fashion week, 505 chanel | del.icio.us | Facebook
lundi, 01 mars 2010
Trouver son style le 6 mars 1972
Le style à la carte, pour les plus audacieuses : blouson ou gilet court sur pantalon très large (Karl Lagerfeld pour Chloé).
Rouge et blanc : un trio jupe-culotte-débardeur-chemisier qui mélange avec désinvolture et talent motifs géométriques et imprimés (Karl Lagerfeld pour Chloé).
Les pastels tendres, charmeurs et flatteurs, vont éclore au premier soleil.
12:01 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : mode, elle, magazine, vintage | del.icio.us | Facebook
dimanche, 28 février 2010
Oui-non-ne sait pas #1
A vendre de la fringue à qui n'en a pas besoin.
Bon, OK, ça c'est pour la vision pisse-vinaigre. Même si c'est pas forcément faux pour autant.
Pour ma part, je m'en tiens à une version fun : chaque saison, la tendance permet de rebooster sa penderie, de (re)découvrir sous un autre jour de bonne vieilles pièces chéries, ou, plus rarement, de sortir enfin du purgatoire celles qu'on n'avait jamais vraiment réussi à apprivoiser jusque-là.
Ce week-end, ELLE a sorti son spécial jean, et Grazia son spécial mode, à déguster à l'abri du vent. De quoi faire un premier tri entre ce que je suis sûre de ne pas porter (ne jamais dire jamais, on est d'accord, mais bon, quoi, quand même, il y a de ces trucs, je sais bien que non, enfin, voilà), ce que je vais peut-être finir par adopter et ce à quoi je m'adonne d'ores et déjà.
(c) ELLE
* La salopette en jean. Quoi qu'en dise une mienne amie, elle ne passera pas par moi. La salopette en jean m'évoque un vêtement de femme enceinte peu inspirée. Enceinte je ne suis pas. Et même lorsqu'il m'est arrivé de l'être, je ne la portais pas. Pour résumer, je ne l'ai jamais portée et ne vais pas m'y mettre maintenant. Exit. Sans regrets.
12:42 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : mode, elle, grazia, denim, valérie salacroux, naf naf | del.icio.us | Facebook