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mardi, 29 avril 2008

Filles et garçons

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Erwan (McGregor) est culte en kilt.

Ce n'est pas Athi qui dira le contraire. A vivre à Glasgow, elle le sait bien, qu'un homme en kilt, ça se passe de commentaires, elle l'a fort bien exprimé dans un fameux billet.

WOW # 5 sera disponible très très prochainement sur vos écrans.

Il est intitulé Comme une fille.

Avec mon esprit de contradiction, j'y cause garçons.

samedi, 26 avril 2008

Des lunettes pour en mettre plein la vue

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J'ai besoin de lunettes, donc.

Avant toute chose, posons le débat. Je vous invite à lire ICI l'excellent billet de celle qui a tombé le masque et qui dit qu'elle serait rien qu'une vile suiveuse. Soit.

A y est ?

Moi non plus. Je ne suis pas une prescriptrice de tendances.

Moi aussi. Je ne suis qu'une vile suiveuse.

Or donc, il me faut des lunettes de vue. De vieille. Des lunettes de qui a la vue qui baisse. Des lunettes de quadra, quoi. Des lunettes de vue j'en ai déjà, que je mets peu. Ou même des fois carrément pas. Mais là, celles-là, les nouvelles, va falloir les porter. Pas tout le temps mais quand même souvent. Déjà c'est pas drôle, alors autant qu'elles me plaisent, en admettant que ce soit possible.

L'an dernier, au retour de la solaire Wayfarer, j'avais résisté.

Mes nouvelles lunettes de vue, durant mes cinq mois d'attente de RDV chez l'ophtalmo, j'ai eu le temps d'y penser. Et d'oublier. Et d'y repenser. Comme une sorte d'image subliminale, un modèle s'est imprimé sur ma rétine.

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(C) Café Mode

Et soudain je les ai vraiement VUES, sur Louise, chez Géraldine.

Mais je les avais déjà entrevues ailleurs ces dernières semaines, moi qui ne vois plus si bien.

Mes nouvelles lunettes seront probablement des Wayfarer sur lesquelles mon opticien remplacera le verres solaires par des verres correcteurs.

Noires ? Ecaille ?

Pour le moment, la question reste en suspens.

mardi, 22 avril 2008

Cheapa-cheapa-cheap... aïe aïe aïe !*

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Dries Van Noten P/E 2008 (c) Madame Figaro

Je me suis décidée à m'offrir une petite virée shopping. Pas dans ma ville que j'aime pas, non, faut pas déconner.

Essentiel, Swildens, Just in Case... ça me cause. Ca me cause et ça se trouve pas chez moi. Enfin, si peu, "chez moi"...

J'ai passé les portants de mon ex-fournisseur de Rützou qu'a même plus de Rützou au peigne fin. Ratissé. Soigneusement.

Et je suis ressortie les mains vides.

A quoi bon ? A quoi bon investir dans de l'été alors que j'en suis toujours aux bottes hautes et au manteau ? L'un de mes plus légers, de manteau, mais manteau.

A quoi bon ? Alors que fleurissent déjà les ventes privées, que les soldes sont dans à peine plus de deux mois ?

Toutes ces marques créatives sans être de créateurs me semblent affreusement chères. A haute dose, mon pouvoir d'achat n'y survivrait pas. Sauf que là, c'est carrément mon vouloir d'achat, qui suit pas.

Histoire de me conforter dans cette idée, je suis entrée chez Comptoir des Cotonniers. Rien ne m'y a vraiment fait envie. Et quand par hasard... Le prix m'a dissuadée vite fait.

Je me suis ensuite perdue devant une vitrine pleine de Dries Van Noten. Voilà, au moins, qui me fait décoller.

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Qu'est-ce qu'une jupe à 375 € quand une robe de chez Alice San Diego** en vaut 320 ? Une jupe à 375 €. Oublie.

Quel est le vrai prix des vêtements ? Quel est le prix de la vraie création, quel est le prix des belles matières, des belles finitions ? Quel est le vrai prix de la fabrication, désormais quasiment systématiquement délocalisée ? Quel est le prix du marketing, de la campagne de pub, de l'éclairage basse tension de la boutique ?

Mes vraies belles pièces ne sont pas toujours celles que je porte le plus. J'ai aussi quelques cheaperies pas mal portées et qui tiennent pourtant la route. Alors ?

Alors, cheaperies pour cette fois-ci. Le débat qui s'est instauré chez Domino est passionnant. Mais moi, je ne suis pas assez sage pour qu'un nouveau rouge à lèvres suffise à me faire croire que je change de look.

Alors ?

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Alors, une poignée de pastilles signées Avant-Première aux Galeries Lafayette.

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Alors une écharpe tye & dye, trouvée dans le même rayon. Je n'aime pas le tye & dye. Mais accessoirement, comme a dit Galliane, si.

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Voilà qui réveille pas mal les rayures grises.

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Une Promoderie, déjà, c'est une Promoderie.

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Alors une Promoderie bradée en cours de saison... Une autre que moi se serait méfiée ? J'ai foncé.

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Le jean brut, le liberty de la doublure, hop, une mousseline rose poudré et à pois dans les cheveux : roule !

*Oui, je sais. C'était trop tentant, j'ai pas résisté.

**En photo, l'étiquette de celle que je me suis achetée l'été dernier... soldée, et qui fit l'objet de l'un de mes tout premiers posts.

Nouvelles lunettes en vue

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Catherine en s'en est pas encore remise : dans le Vogue arrivé samedi, j'ai zappé la photo de Bardot.

Je ne l'ai PAS VUE.

J'ai donc recherché la page. On ne voit qu'elle, pourtant, non ?

On ne devrait, voir qu'elle.

Ben moi non. Ca m'est revenu. Quand j'ai ouvert Vogue, j'ai aperçu Charlotte Gainsbourg, avec la Jolie en dessous, j'ai fait dans ma tête un genre de "pfffff, encore !", j'ai tourné la page et j'ai zappé Bardot.

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Zappé Bardot... Zappé ses pieds nus, le portier qui la regarde par en dessous et qui se souviendra de cet instant toute sa vie...

Allez, là maintenant, je cours chez l'ophtalmo, j'ai rendez-vous depuis déjà cinq mois, c'est le délai de rigueur. Je crois que oui, j'ai besoin de lunettes.