Doucement le matin, pas trop vite non plus l'après-midi

 Il y a déjà un mois que j'ai publié la part 1. Le même jour de pseudo non shopping, pourtant, qui avait valu ce premier épisode, j'avais craqué pour un autre duo chez Zara.

Et C... comme Chanel.

Je suis loin d'être une fidèle de la marque, même si je persiste à penser que son Rouge noir n'a jamais été égalé.

Allez savoir, envie de - discrètement - briller dans les derniers rayons d'un été indien qui a joué les prolongations, esprit critique totalement évaporé face aux visuels léchés étudiés pour, bon de réduc chez le fournisseur de came habituel (qui sait tellement bien donner bonne conscience) ?

Bah j'en sais rien, mais j'ai craqué, et pas à moitié.

Les soldes bien avant les soldes (de janvier) voilà tout de même une bien belle invention...

De quoi craquer encore pour quelques paires de chaussures et prendre l'hiver d'un bon pied... Chez Spartoo, les réductions vont jusqu'à moins 60 %, jusqu'au 25 octobre. Y compris sur des marques aux modèles tout ce qu'il y a d'emblématiques. Qu'on en juge.

J'ai une nouvelle envie de... Stan Smith. Ces Adidas-là, ce sont les pompes de mes 17 ans... Ah, ça date ! Mais elles n'ont pas pris une ride (elles). Je les avais dans l'incontournable version vert et blanc. Mais la version toute blanche de ce modèle culte d'Adidas à 53 € au lieu de 75 (soit moins 30 %) me tente aujourd'hui bien davantage...

Invitée à Londres par John Lewis en juillet dernier à l'occasion du lancement pour la France de son site internet, j'aurai donc mis bien du temps à revenir sur ces deux jours très intenses...

John Lewis, c'est en quelque sorte les Galeries Lafayette anglaises. Un événement comme Noël s'y prépare bien des semaines à l'avance, et, en compagnie de Marie Besnob, Nadia de NizzaGirl et de MarieLuvPink, j'ai assisté à la présentation presse de tout ce que concoctait cette enseigne pour la fin de l'année.