jeudi, 01 octobre 2009
Défi shopping : le bilan #2
Déjà deux mois de passés pour le On va voir ce qu'on va voir.
Et ?
Alors ?
Ben on a vu.
Je suis restée dans les clous. Au propre comme au figuré.
Incredible, isn't it ?
12:00 Publié dans On va voir ce qu'on va voir | Lien permanent | Commentaires (30) | Tags : mode, défi shopping, h&m, zara, emanuelle khanh, vintage, chino gap | del.icio.us | Facebook
lundi, 28 septembre 2009
A Sauxillanges le 30 septembre 1960
Ce numéro de ELLE du 30 septembre 1960 est un spécial maille, et les photos de la série mode ont été prises à Sauxillanges, une vieille petite ville d'Auvergne, précise le seommaire. C'est là que s'est posé, entre deux pots de bégonias un bonnet boule à bord frisé (Galeries Lafayette).
Avant d'arriver à Sauxillanges (47 km de Clermont-Ferrand, 12 km d'Issoire, 450 m d'altitude, 1175 habitants), Marla a renconté un des plus importants personnages du pays : André Bertix, le facteur.
Marla est aussi allée à l'école de filles, rencontrer les élèves et leur jeune directrice Mlle Chalimbaud, 22 ans, sortie de Normale il y a deux ans. Quant à la 2 CV, à droite, c'est celle du médecin du village, Francis Génillier, qui entre deux tournées, a permis à a Agathe de poser à travers le toit. So père était médecin, ses trois frères sont dentiste, chirurgien et médecin.
Sauxillanges a bien sûr son équipe de foot, majoritairement composée d'étudiants à Clermont-Ferrand. Son président, M. Lagneau, est aussi notaire. Il y a aussi 20 pompiers, parmi la population. Ils sont commandés par un lieutenant-commandant grisonnant et moustachu : Marius Tournemire (à gauche d'Agathe). Il est né à Sauxillanges en 1903 et connaît toutes les histoires du pays.
11:51 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : mode, elle, vintage, magazines | del.icio.us | Facebook
lundi, 21 septembre 2009
Mode nouvelle le 25 septembre 1947
La mode nouvelle fait la couv' de ce numéro de ELLE du 25 septembre 1947, qui ne comporte que 24 pages.
Dans son édito "H. G.-L." (Hélène Gordon-Lazareff, bien sûr) revient sur la révolution dans la couture : les jupes sont beaucoup plus longues, les tailles beaucoup plus fines, les épaules effacées, les bustes soulignés avec insistance. Tout cela vous le savez... et vous êtes affolée. On vous a parlé d'une mode importable, excentrique, impossible. Aujourd'hui, vous allez pouvoir juger et "faire vos jeux".
La fondatrice de ELLE inisiste sur le fait que la haute couture française a contraint le monde entier à reconnaître sa suprématie et précise que le prochain numéro donnera aux lectrices cent idées pratiques pour adopter et "calmer" cette mode révolutionnaire.
Ce coup de théâtre qui signe une révolution est signé Christian Dior, de la ligne parapluie fermé qui s'oppose à la ligne parachute ouvert, de la robe libellule en tulle blanc et ailée à son contraire, la robe serpent en drap noir, dépouillée et impitoyable.
Autre nouveauté (en haut à gauche), la robe de crépuscule, mi-longue, mi-nue.
11:28 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : mode, elle, vintage, magazines | del.icio.us | Facebook
mardi, 08 septembre 2009
Quand la broc' se fait l'alliée du défi shopping
Dimanche, je me suis décidée à me lever tôt (enfin, disons pas trop tard) pour aller faire les broc's.
C'était la première fois de la saison. En septembre ! Du jamais vu. A croire que je n'étais pas trop motivée cet été ? En réalité, je n'ai surtout plus de place.
Mais il fallait bien s'occuper d'équiper à moindres frais le sweet home estudiantin déniché en même temps que mes cuissardes. On l'a équipé, on a trouvé quasiment tout ce qu'on était venu chercher, ce qui était déjà bien.
Mais pas seulement. Cette virée ensoleillée s'est révélée une bénédiction pour le défi shopping.
Au détour d'un stand, j'ai repéré des lunettes solaires. Heureuse surprise quand j'ai aperçu le petit logo EK sur la branche. Et jubilation à son comble lorsque j'ai entendu le prix : 1,50 €. Dois-je préciser que les verres ne comportent aucune rayure ? Si, si, je précise.
Me voici donc pourvue en mythiques lunettes Emmanuelle Khanh. Une première.
Même tarif pour cette paire très inspirée des Wayfarer mais dont la marque n'est plus visible. Et top qualité. Ce sont celles de Bam-Lisa.
Laquelle rêvait d'un petit sac vintage à bandoulière. Hop, exaucée trois pas plus loin.
11:30 Publié dans Chineuse d'opérette | Lien permanent | Commentaires (33) | Tags : mode, lunettes emmanuelle khanh, vintage, paul smith, paul et joe | del.icio.us | Facebook