jeudi, 28 août 2008
Démêler le vrai du faux
Voilà déjà plusieurs semaines que je reste bloquée sur une idée de col de fourrure, matérialisée à merveille par le Comptoir des Cotonniers, mais elle arrive de plus loin encore, cette envie-là. Au moins de la Fashion week de la fin de l'hiver, voire avant.
Peut-on porter de la vraie fourrure ? Faut-il opter pour du faux ? Le débat n'a pas fini de faire rage.
Pour ma part, je ferai les deux. Peut-être est-ce me donner bonne conscience à bon compte, mais pour le vrai, ce sera vintage. A bon compte assurément, la fourrure vintage se négocie pour trois fois rien, ce qui coûte le plus cher dans l'histoire, c'est le nettoyage.
Mes cols de fourrure de l'hiver devraient être au nombre de trois. Ils vont tous me demander un peu de bidouillage, peut-être bien à base de fleurette liberty, peut-être bien à base d'autre chose. Une doublure rose shocking à la Schiaparelli est aussi envisagée.
Le petit col en mouton doré n'a plus de doublure du tout.
Le grand col dont je ne connais pas l'origine est pourvu d'une doublure, mais elle est affreuse.
Le long et large ruban de poil de pétrole, que je compte enrouler en double, n'a pas de doublure non plus et n'aura ni liberty ni rose schocking : je ne sais pas encore comment l'assaisonner.
En quelque sorte, y'a plus qu'à.
17:30 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : mode, comptoir des cotonniers, col, fourrure | del.icio.us | Facebook