mercredi, 06 janvier 2010
En vrac et vite fait en passant #8
*** Ok, Ok, OK. J'ai téléchargé des bidules et des machins, j'ai essuyé un bug de mon opérateur qui m'a valu de twitter toute une journée des #bonsangdebouygues, j'ai découvert les joies de RetroCamera, de Polarize et de ColorSplash pour tenter de sublimer vaille que vaille les images autorisées par ce qui est tout de même, autant le dire d'emblée, un #iPhoneappareilphotodedaube. Depuis deux semaines, je suis connectée toujours, partout, tout le temps (oui enfin sauf en cas de bug) et, comme des millions d'autres, je suis désormais accro à mon iPhone et ne reviendrai pas en arrière.
*** Cinématographique. C'est ce que sera pour moi 2010. Comme je vous le dit. Et j'ai démarré très fort, en quatre jours, avec un Jarmusch et un Coppola (papa, Coppola). Très fort, vous dis-je et contentez-vous de ça, je ne bosse pas au Masque et la Plume, non plus. Je vais aller voir Coco Chanel et Igor Stravinsky mais je pressens que ce ne sera pas de la même eau. Je vais y aller quand même, il y a peut-être de jolis costumes et la salle sera encore déserte, tout le monde se presse pour Avatar (qu'évidemment je n'irai pas voir). Comme je n'ai pas vu 2012. Ni Harry Potter et encore moins Titanic, au siècle dernier. Je suis une snob du cinoche. Et je l'assume. Mais 2010 sera donc cinématographique. Bien plus que 2008, où j'ai eu la flemme. Bien plus que 2009 où j'avais dit que j'aurai pas la flemme comme en 2008, mais en fait si. Et comme je ne suis pas physionomiste, dans un premier temps, dans Tetro, je n'ai pas reconnu Vincent Gallo.
Pour ce qui concerne Gael Garcia Bernal, même si pas avantagé dans The Limits of Control par sa barbe, ses tatouages, ses mélanges de jeans et son chapeau, lui, je sais que je vais me souvenir de son nom. Oui, parfaitement, de son nom.
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mercredi, 23 décembre 2009
En vrac et vite fait en passant #7
*** Orage, ô désespoir : le vernis Orage Yves Saint Laurent est introuvable dans ma ville que j'aime pas. Et pas parce qu'on ne l'y aurait pas reçu, contrairement à ce que j'étais prête à entendre. Il s'y est vendu comme des petits pains (en petit nombre, les pains) m'a-t-on appris lorsqu'il m'est venu à l'idée de me le procurer, vers la fin octobre. Et comme il s'agissait d'une série limitée, pas de réassort possible. J'avais donc fait mon deuil de cette envie de gris (je parle évidemment vernis, pour le reste, la neige bouillasseuse pourvoit largement à une envie de gris que je n'avais d'ailleurs pas) jusqu'à ce que je tombe sur le New York de Mavala. Qui fait largement la blague, à peine moins bleuté peut-être que l'original. Et encore, même pas sûr. Et pour trois fois moins cher.
*** Pas franchement early adopter : non, pas franchement. Mais j'ai cédé aux sirènes du marketing d'utilisateurs qui prétendent qu'après ça, on ne revient plus en arrière. Pas d'Ipod, pas de Mac, rien de la marque à la pomme chez moi, marque certes sûrement pleine de qualités, mais qui m'a toujours agacée avec son petit côté snobinard hors de prix (voilà, c'est dit). Bon, cela étant, le bidule (et son assurance qui va bien, le vol à l'arrachée de la bestiole étant un sport pas mal prisé) est encore dans sa boîte, le temps que je me décide à passer la moitié d'une après-midi à télécharger des trucs et des machins. Et je serai connectée toujours, partout, tout le temps. Un progrès ?
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