mercredi, 01 août 2007
La politique de la chaise vide et du tiroir plein
Bon, je rends hommage à ma bannière (qu'est même pas encore vraiment là) et je commence par la politique de la chaise vide. Et à seulement trois pieds, la chaise...
Mais cette chaise-là, elle concentre tout ce que j'aime. Le chargé-coloré-kitsch-doré-fleuri hommage à Klimt. Et la pureté des lignes intemporelles de Jacobsen. Ne la cherchez pas, cette chaise-là, il n'y en a qu'une et elle ne m'appartient plus. Pas grave, j'en peindrai d'autres. Un de ces soirs.
Parce que le soir, quand même ? Ah, le soir qui dure tard ! Allez, d'accord, pour faire bonne mesure, j'ajoute le tiroir à bordello.
Celui qui déborde de bidules à stimuler la créativité. Pour quand j'ai le cerveau en état de marche. Plutôt le soir, donc.
Et puis, des fois, plutôt pas du tout.
14:25 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : meubles peints, klimt | del.icio.us | Facebook