lundi, 15 juillet 2013
Du sage qui n'en est pas (tant que ça)
Mon premier sac Abaco date d'il y a huit ans. Acheté en soldes, bradé à moins 70 %.
L'année dernière, à la même époque, j'avais craqué pour la besace Jamily, en toile, cuir et python. Tellement aimée qu'elle s'est depuis joliment patinée pour m'avoir accompagnée bien souvent, en toutes saisons. Et je ne changerais pas un mot aujourd'hui à mon billet d'il y a près d'un an. Le sac signé à logo qui clignote avec l'air d'afficger son prix, très peu pour moi.
Durant des jours et des jours, en cette nouvelle période de soldes, je suis allée faire un petit coucou virtuel au modèle Puma en python coloris "terra", de la même marque (dont il n'est pas inutile de préciser qu'elle fabrique en France) avec lequel s'ouvre ce billet.
Craquera ?
Craquera pas ?
Et s'il y avait de nouvelles remises ?
Et si ce modèle devenait sold-out ?
La valse hésitation s'est terminée samedi.
17:54 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : mode, python, abaco, puma, jamily | del.icio.us | Facebook
mardi, 04 octobre 2011
Obsession. Python
Ca crache.
De partout.
On peut pas ouvrir un magazine sans tomber dessus.
Le python.
12:46 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : mode, python, etam, next libé | del.icio.us | Facebook
mardi, 15 décembre 2009
En vrac et vite fait en passant #7
*** Python : ça fait un moment que je lui qu'il me tourne autour, l'animal. L'a suffit que la Zab' exhibe des pythonneries, même en tout petit sur la photo (dis donc la Zab', t'as cassé ton zoom ou bien ?), pour qu'à la faveur d'un passage dans un "grand André" dans une ville qui n'est évidemment pas celle que j'aime pas et qui ne compte d'ailleurs pas de magasin André du tout (les "petits André" ne sont pas approvisionnés avec tous les modèles et notamment pas ce modèle-ci) je craque pour les mêmes boots pythonnées. Genre python, quoi, du python évidemment c'en est pas. Il s'agit en fait 'une déclinaison d'un modèle que j'avais déjà repéré en cuir velours bleu. Sauf que rien à la taille de mes péniches. J'ai dû envoyer ma descendance récupérer mes shoes à Strasbourg. Laquelle descendance, au moins, ne me les piquera pas (nous faisons la même pointure), elle juge ces boots "hideuses". Pfffff.
*** Plus redoutable que la grippe A : une épidémie de Desigual sévit dans ma ville que j'aime pas. Pas d'André, pas de Zara, pas de H&M et des multimarques pas franchement à la pointe mais on y compte au moins quatre points de vente de la marque espagnole bigarrée, peut-être même cinq.
Du coup on croise à chaque coin de rue ces manteaux immédiatement reconnaissables et qui se voudraient... originaux (?). Ma ville que j'aime pas, disais-je.
12:21 Publié dans En vrac et vite fait en passant | Lien permanent | Commentaires (28) | Tags : mode, python, nathalie lété | del.icio.us | Facebook