vendredi, 26 novembre 2010
Dans les cuisines d'un chef étoilé
Lorsque Temptingplace m'a sollicitée pour me proposer de participer à un atelier culinaire avec Phlippe Geneletti aux Pléiades, à Barbizon, je me suis bien douté que je ne devais pas cette invitation à mes talents culinaires supposés, que jamais ici je n'ai exposés.
Et pour cause.
J'aime manger. Pas spécialement cuisiner.
Mais un atelier avec un chef étoilé, volà qui ne manquait pas d'éveiller ma curiosité.
Philippe Geneletti est un jeune chef trentenaire, qui officie depuis deux ans dans les cuisines des Pléiades. Il a obtenu sa première étoile au Michelin en 2009. A Barbizon, il a en charge le restaurant gastronomique de 25 couverts et la brasserie de l'établissement, qui en comprend 60.
Et il affiche un sourire malicieux lorsqu'il accueille une petite équipe de blogueurs venue se frotter... à la cuisine moléculaire.
Voilà un terme qui demeurait bien mystérieux, pour moi. Je garderai longtemps le souvenir de cette balance de précision sur laquelle nous avons pesé l'alginate au 10e de gramme près.
Et je n'oublierai pas non plus le goût et la texture des billes de thé earl grey gélifiées que nous avons ensuite obtenues (oui, contrairement aux apparences, le verre à bière contenait du thé !).
Avoir la chance de participer à un tel atelier, c'est, plus qu'apprendre à cuisiner étoilé - ce qui ne saurait évidemment se faire en trois heures de temps - aller de découverte en découverte. Goûter une petite algue japonaise dont j'ai oublié le nom mais pas la saveur. Découvrir qu'il y a des sauces soja grand cru : celle de Philippe Geneletti affiche pas moins de 25 ans.
Quant aux tomates lyophilisées plongées dans l'azote, elles ont une incomparable saveur... de tomate. Avec une inattendue texture de chips.
00:14 Publié dans On the road | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : tempting place, éloilé michelin, philippe geneletti, pléiades barbizon | del.icio.us | Facebook
mercredi, 24 novembre 2010
Post-Nothing
Du Canada, j'avais déjà retenu Arcade Fire.
Va désormais falloir que je compte aussi avec les Japandroïds.
Certes, ces garçons semblent manifestement faire montre d'un goût prononcé pour les chemises à carreaux. Mais leur Post-nothing est pile l'album qu'il me fallait.
Et merci à P. pour cette découverte.
01:19 Publié dans Tout en couleurs ! | Lien permanent | Commentaires (6) | del.icio.us | Facebook
mardi, 23 novembre 2010
Eh oui, la Redoute !
La marque mystère chez qui j'avais shoppé gilet long, top à lavallière et mocassins à talon seventies n'est pas demeuré mystérieuse bien longtemps pour un certain nombre d'entre vous : il s'agissait bien de La Redoute. Ce sont des articles issus de la collection La Redoute Création, que j'apprécie pour son positionnement très mode, tout en demeurant très portable et surtout avec un rapport qualité/prix imbattable.
Je crois bien me souvenir être devenue cliente de la Redoute alors que je venais tout juste d'empocher mon premier salaire. C'était il y a bien des années, il n'y avait pas internet, je commandais par téléphone, depuis les références du gros catalogue et j'ai ainsi acquis mes premières pièces signées de créateurs, à l'exemple de ce tailleur pantalon noir signé Yohji Yamamoto. Depuis, je surfe plus souvent sur le site que je ne tourne les pages, mais je prends toujours le même plaisir à y dénicher nombre de trouvailles.
Un slim en velours, rouge, par exemple ! Un de plus parmi un choix de jeans renversant.
18:41 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : mode, la redoute, on ose, slim rouge | del.icio.us | Facebook
lundi, 22 novembre 2010
De l'angora et du jacquard, what else ?
L'angora, voilà qui rappelle furieusement Anne Sinclair dans sa période Anny Blatt, non ?
Du bleu dur, un peu de fil lurex, des points compliqués...
Si ça se trouve, Anne Sinclair n'a jamais porté de pull angora bleu dur, ils étaient noirs, ou rouges, ses pulls ? C'est juste ma mémoire qui me ferait défaut, après toutes ces années ?
Bref.
L'angora d'aujourd'hui est discret. Et adore le jacquard.
Ca tombe bien, moi aussi j'adore le jacquard. Et même l'angora.
Le gilet Sandro, là haut, repéré sur Place des Tendances ? Il en comprend 8 %, d'angora. Et aussi 35% de viscose, 29% de laine d'agneau, 8 % de cachemire.
Photo Punky B
Ce gilet-là m'a sérieusement rappelé celui-ci.
13:02 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : mode, h&m, sandro | del.icio.us | Facebook