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lundi, 25 mai 2009

En Louisiane le 24 mai 1976

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Charlotte Rampling fait la couv' de ce numéro de ELLE du 24 mai 1976, mais dans les pages intérieures, on se demande un peu où est passée Charlotte.

Nulle part, en fait.

Ou, plus exactement, Charlotte Rampling est à Cannes, où elle est membre du jury du festival, ce qui lui vaut cette couv' (avec tout de même une photo signée Peter Knapp) et une petite brève non illustrée qui évoque ses prochains tournages, L'Orca de Michel Anderson et Le taxi mauve, d'Yves Boisset.

Et c'est tout.

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Une équipe de ELLE est partie pour la Louisiane, offrant à ce numéro pas moins de neuf doubles pages dans lesquelles se côtoient série mode et art de vivre. Dans ce petit morceau de France au Sud-Est des Etats-Unis, découvert par nos ancêtres au XVIIe siècle (et qui doit son nom au roi Soleil), se trouve une part de rêve des Etats-Unis.

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Les tenues en cotpn madras s'imposent dans la douce torpeur qui enveloppe la plantation de Texuco.

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dimanche, 24 mai 2009

Bon, alors ? Alooooooors ?

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A qui, la Palme, hein ?

Il a suffit d'une présidente de jury qui me parle plus qu'une autre, il a suffit que je me penche dangereusement sur quelques montées de marches, et hop, voilà que j'ai fini par me passionner pour un festival de Cannes qui m'avait pourtant si peu interpellée ces dernières années.

Dans les heures qui précèdent le palmarès, le petit jeu des pronostics est toujours des plus réjouissants.

Sur Ecrans larges, j'ai particulièrement aimé le papier de Thomas Messias qui passe en revue les rumeurs, classées par genre. Perdu d'avance, pour Lars Von Trier, son Antichrist et sa Charlotte Gainsbourg trashisée ? Ah, ah pas si sûr, pense-t-il (et moi avec). Pourquoi ? Parce que "mâdâme Huppert est typiquement le genre de personne à kiffer sa race face à ce genre de cinéma délibérément provoc et dérangeant, d'une noirceur infinie. Et que ça mettrait une jolie pagaille si ce film tant hué sur la Croisette repartait avec une friandise."

Et moi aussi, je kiffe ma race depuis longtemps, avec le Lars, même si on y perd parfois son latin en route, faut bien le dire. Notamment, enceinte, je me souviens avoir adoré sa série télévisée de style fantastique sur les coulisses d'un hôpital où l'on ne pouvait que souhaiter ne jamais s'échouer. C'était à la fin de 90's, ça passait sur Arte.

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A part ça, voir Almodovar (dont j'ai d'ailleurs beaucoup aimé les Etreintes brisées) désormais statufié en cinéaste consensuel est carrément jouissif. Mais qui, qui, qui se serait risqué à le parier lorsqu'il a sorti, il y a près de 30 ans, le méga déjanté Pepi, Luci, Bom et autres filles du quartier ?

Bon, c'est pas tout ça, mais Mâdâme Huppert, alors, ce palmarès ?

EDIT : sacrée friandise quand même, qu'un Prix d'interprétation pour Charlotte Gainsbourg trashisée ! Quant à Almodovar,  décidément devenu trop consensuel sans doute, ne lui reste plus qu'à aller se faire voir chez les Grecs...

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vendredi, 22 mai 2009

Ca commence aussi par San...

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Elles ont comme un petit air de Sandro, quand même, un peu, non ?

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Si, quand même, un peu ?

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jeudi, 21 mai 2009

En mai-juin, les maillots de bain !

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Chaque année à la même époque, la presse féminine nous fait le coup des kilos à perdre avant le maillot. Mais quel maillot ? Le phénomène n'est pas nouveau, une plongée dans les ELLE des 70's a suffit à m'en convaincre. Entre deux pubs pour produits solaires, on y trouve des pubs pour les maillots de bain.

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Les seventies, c'est bronzage maximum sans que personne ne s'émeuve de risques de mélanome, le deux pièce est donc roi. Mais c'est compliqué, le deux pièces, parfois, pour harmoniser le haut et le bas. En 72, Huit s'enorgueillit de lancer les premiers séparables, en vendant davantage son idée que le style de ses maillots.

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