lundi, 11 mai 2009
Huit femmes pour un président le 11 mai 1981
Ce numéro de ELLE du 11 mai 1981 fait sa couv' sur le couple idéal de la santé et fait poser Madame en maillot de bain. Ce couple idéal, c'est Pierre et Florence Pallardy.
Des centaines de milliers de Français lisent ses livres, suivent ses conseils, croient en lui, changent leur vie et lui écrivent merci, selon ELLE. Ni sorcier ni guérisseur, il a tout simplement un don. "Je ne suis pas médecin", rappelle l'intéressé, "mais je collabore avec eux". Kinésithérapeute, osthéopate et naturopathe, Pierre Pallardy raconte qu'il a découvert ce don à l'orphelinat où il a été placé après le décès de sa mère. "Quand un copain tombait, se tordait la cheville, se faisait mal au dos, je posais mes mains sur lui, je le massais et il allait tout de suite mieux."
Pas beaucoup de recul dans ce papier de Marie Renaudin, qui fait également la part belle à Florence, l'épouse diététicienne. Sur plusieurs semaines, le magazine donnera la parole à Pierre Pallardy, qui prodiguera ses conseils de mieux-être. Celui qui apparaît comme une sorte de gourou de la santé en ce début des 80's et pose alors en compagnie des siens à la famille idéale est depuis tombé de son piédestal, objet de plaintes pour viols de la part de certaines de ses patientes...
11:26 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : mpde, elle, vintage, magazines, pierre pallardy, clio goldsmith, juliet berto | del.icio.us | Facebook
dimanche, 10 mai 2009
Ah, Isabelle H...
Ce week-end, j'ai acheté Madame Figaro et un pantalon chez 1,2,3.
Oui, je sais, tout ça va mal finir.
Tout de même, dans le Fig' Mad', à l'occasion du Festival de Cannes qui s'annonce et dont elle sera la présidente, soixante pages sont consacrées à Isabelle Huppert. Et pour moi, même si le mode groupie n'est certes pas ma tasse de thé, Isabelle Huppert occupe une place à part.
Elle est intelligente et intuitive - deux qualités qui vont rarement de pair, dit d'elle la réalisatrice Ursula Meier, qui l'a fait tourner dans Home. En mode, aussi, je la crois intelligente et intuitive, Isabelle H. Jean, Wayfarer, Converse et veste... Dior Homme, inutile de dire que cette image me parle ?
Dans un portfolio qui réunit les images de ses nombreux passages à Cannes, le jean est présent : large en 1976...
13:23 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (31) | Tags : mode, festival de cannes, isabelle huppert, madame figaro | del.icio.us | Facebook
vendredi, 08 mai 2009
Liberty compte triple !
Il a fleuri ici et là sur la blogo et j'en ai eu envie. Mulhouse, Strasbourg, Nancy, Bruges, Anvers, j'ai enchaîné les H&M et n'ai jamais pu mettre la main dessus. "Mais il en reste, ici !" m'ont annoncé en choeur Zabou et son amie Séverine - cette dernière arborant ladite pièce ce jour-là - lors de ma virée en terre liégeoise. Chez H&M nous avons donc couru (euh, en fait, non, c'est pas vrai, sans nous presser nous y sommes allées).
Le liberty, depuis le temps qu'on nous annonce son retour, ça m'interpellait. Peut-être même en robe Cacharel rééditée ? Oui, sauf que non : outre un prix affiché me semblant rhédibitoire, j'ai fini par juger que les longueurs des robes proposées l'étaient aussi. Voire, un effet rideau de fleurettes pas forcément facile à assumer (et je ne parle même pas des pieds glissés dans des Minnetonka...).
18:03 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (32) | Tags : mode, liberty, h&m, cacharel, blogosphère, zabou | del.icio.us | Facebook
mercredi, 06 mai 2009
La crise, la crise, la crise
La crise par ci.
La crise par là.
Faudrait faire ci.
Faudrait faire ça.
Des économies, j'ai qu'à faire. Quelques affûtiaux de chez Pimkie, un peu de biais liberty et en avant, on va voir ce qu'on va voir. Ou pas, comme d'habitude...
Et puisqu'on cause crise, c'est demain, jeudi 7 mai, que sort en librairie le Dictionnaire Posthume de la Finance écrit par David Abiker et Evariste Lefeuvre. En attendant sa parution, un blog a été ouvert pour recueillir la contribution, lettre par lettre, de blogueurs sur le sujet.
J'étais bien tentée de participer mais le temps que je me dise, "La finance, moi ? Oui mais non. Quoique. La finance, moi ? Non mais oui !", il ne restait plus de disponibles que les lettres U et Y.
Y'avait plus qu'à, finalement, et ça a donné mon modeste Yaka, que vous pourrez découvrir par là.
Au fait, le U est toujours dispo, c'est tout de même trop ballot, cette pauvre lettre esseulée et déprimée ? Allez, il ne tient qu'à vous de lui donner le sourire.
14:42 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (26) | Tags : mode, pimkie, crise, dictionnaire posthume de la finance, david abiker | del.icio.us | Facebook