mardi, 04 octobre 2011
Obsession. Python
Ca crache.
De partout.
On peut pas ouvrir un magazine sans tomber dessus.
Le python.
12:46 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : mode, python, etam, next libé | del.icio.us | Facebook
vendredi, 30 septembre 2011
Roots, les boots !
Elles sont poussiéreuses.
Voire boueuses.
Mes boots sont roots.
23:15 Publié dans Gueule de commentaire | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : mode, boots, spartoo, jonak, ash | del.icio.us | Facebook
mercredi, 28 septembre 2011
La beauté vénéneuse de L'Apollonide...
L'Apollonide, souvenirs de la maison close, c'était LE film que j'avais envie d'aller voir absolument, subjuguée par sa bande annonce.
Autant le dire en préambule, je ne suis habituellement pas de celles qui ferment les yeux au cinéma mais il y a dans ce film des scènes insoutenables. La mise en scène, l'effet de répétition, font qu'on les voit arriver... c'est incontestablement glaçant. Mais ne boudez pas ce film pour autant, ces scènes sont peu nombreuses et indispensables à sa construction. Fermez éventuellement les paupières, tout simplement...
Les costumes, la lumière, la photographie, le jeu des actrices, la mise en scène de Bertrand Bonello, tout concourt à faire de ce film une splendeur esthétique venant souligner un constat implacable.
L'action se passe au tournant du XXe sicècle, et après ? Grâce à Caro (vous ai pas dit, au fait, que j'ai rencontré Caro ? J'y reviens !), qui l'a signalée, je suis allée lire la tribune de Nancy Huston dans Libé. Au XXIe siècle, les enjeux concernant "le plus vieux métier du monde" sont toujours les mêmes...
12:24 Publié dans C'est que mon avis | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : mode, bertrand bonello, anais romand, apollonide, laure adler | del.icio.us | Facebook
mardi, 27 septembre 2011
Zara, c'est plus fort que toi (part 1)
A Paris pour des raisons pro, je devais pas faire de shopping.
Près de deux mois et demi que j'avais pas mis les pieds chez Zara, ni H&M (la dernière fois c'était à Londres), ni chez personne, d'ailleurs.
Pour des raisons de priorités de budget et aussi parce que je ne sais plus où ranger mes fringues. Et que je ne suis pas une adepte du vide-dressing, il y a des vêtements dont je n'ai pas envie de me séparer au simple prétexte qu'il faudrait faire de la place aux nouveaux arrivants. J'ai les leçons de morale en horreur, que personne ne se sente donc visé(e) en quoi que ce soit, mais cette manière de faire ne me correspond pas.
Donc, Zara, c'était très simple, j'irais pas.
00:43 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : mode, zara | del.icio.us | Facebook