vendredi, 10 octobre 2008
Le cas de la paillette
Dans le train qui m'emmenait à Paris, il y a deux semaines, j'ai eu le temps d'apprendre mon ELLE par coeur. Plus exactement la mise au point commise par Sophie Fontanel/Fonelle et intitulée Du podium à la vraie vie, non aux fashion faux pas. Je me suis rendu compte qiue les éléments passés en revue, je les avais déjà presque tous dans mon dressing. Et si je ne les avais pas déjà, c'est qu'ils sont ou étaient dans ma ligne de mire (pour certains d'entre eux, je les ai acquis depuis).
J'ai donc vu dans cet article une base providentielle pour alimenter ma rubrique Trendyméquadra/quadramétrendy.
(c) ELLE (23/09/08)
Voyons donc aujourd'hui le cas de la paillette.
J'avais sans doute encore les fonelleries présentes à l'esprit lorsque j'ai acheté ce débardeur pailleté chez New Look, sans savoir trop comment j'allais le porter. Sandro m'a très vite apporté la réponse.
C'est une association qui est restée gravée lorsque je l'ai croisée au détour d'un portant : stricte veste noire, top pailleté argent et fourrure.
Voilà qui n'allait pas être bien difficile à mettre en oeuvre.
Mes paillettes sont cousues. Un bon point. Mais je ne les porte pas en veste.
Renard vintage, veste Marc Jacobs, Débardeur New Look, jean Aquaverde
boots La Redoute, bague vintage
Je me souviens avoir hésité devant la veste toute paillettée de noir réalisée par Karl Lagerfeld pour H&M il y a quelques années. Et puis non. La paillette, je la préfère décidément en petites pièces.
Et pas chère. Le cas de la mini à paillettes est un peu plus complexe que celui du débardeur. Je ne me verrais franchement pas la porter à toute heure du jour. Mais plutôt à toute heure de la nuit. Et surtout, avec un t-shirt évidemment pas repassé.
Jupe et t-shirt H&M, veste Marc Jacobs, legging Promod, boots New Look
Collier squelette Corpus Christi
Le legging en laine qui en fait est en coton tombe à point nommé pour dédramatiser un peu le truc.
14:32 Publié dans Trendyméquadra/quadramétrendy | Lien permanent | Commentaires (32) | Tags : paillette, new look, h&m, panthère, mode | del.icio.us | Facebook
jeudi, 09 octobre 2008
Une poignée de boutons
Sans doute le dernier joli marché aux puces de la saison, sous le soleil. Ces boutons noirs attachés ensemble à la manière d'un bracelet m'ont immédiatement évoqué un défilé de haute couture.
Je ne sais pas de quand ils datent, de plusieurs époques, sans doute, ils sont tous différents.
J'ai un faible pour ce curieux bouton creusé, en passementerie. Plus des bijoux que des boutons.
Sur un autre stand, j'ai trouvé cinq boutons en nacre.
Pas de doute, ceux-là pourraient bien un jour transcender la première veste H&M venue. Pas dans l'immédiat, parce que je dois bien reconnaître que le virus de l'automne a eu raison de moi. Autant dire qu'à ce rythme, c'est pas non plus demain que je me baladerai en robe japonaise.
PS : sous les boutons, le reportage photo sur les coulisses du défilé Haute Couture de Chanel, paru dans le N°2 de Côté Paris qui vient de sortir.
17:08 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : mode, brocs, boutons | del.icio.us | Facebook
mercredi, 08 octobre 2008
Le double effet boots noires
Une fois arrivée à Paris, je me suis précipitée chez New Look, dans l'espoir de trouver les boots noires en daim que Zabou avait vainement cherchées pour moi. Elles y étaient, mais pas dans ma pointure. Qu'à celà ne tienne, il y en avait d'autres, certes pas en daim et d'ailleurs même pas en cuir non plus, mais si confortables.
(c) Sois Belle et Parle
Deux jours après, parlant bellement futilités avec Violette, j'ai compris que j'avais tout simplement acheté les boots à 40 €, celles qui lui avaient dit Tu viens ? Et elle était venue, Violette. Moi aussi, elles m'ont fait le coup. Moi aussi, je suis venue. Sans même me souvenir que sur son blog je les avais déjà vues. Faut dire que depuis le 25 août, soit un mois plus tôt, tout ça avait largement eu le temps de s'effacer de ma mémoire temporaire très temporaire. Et d'ailleurs, on n'avait même pas l'air ridicule, vu qu'elle ne les portait pas ce jour-là et en fait moi non plus.
Pourtant j'ai désormais du mal à mettre autre chose, tellement elles vont avec tout, tellement elles sont tout confort, tellement... Je vais pourtant devoir m'y résoudre, un détour par chez le cordonnier s'avérant désormais indispensable avant que les talons ne soient plus en mesure d'être réparés. L'usure, déjà.
Mais j'en ai d'autres, à tester. Lorsque je suis rentrée chez moi, j'ai trouvé un courrier m'avisant que venaient d'arriver celles que je n'attendais plus. Celles qui annonçaient douze semaines de délai de livraison, qui étaient épuisées en 41, mais pas en 40 et qui n'auront finalement mis que six semaines pour arriver. Celles qui ne sont pas doublées façon Damart, dont les trous-trous que je n'aimais pas ne se voient en fait presque pas et qui sont pile à ma taille. Celles qui sont issues de la collection été 2008 mais seront parfaites pour l'automne/hiver.
Je les ai jugées trop différentes pour faire double emploi et j'ai donc gardé le tout.
Par curiosité, je suis allée faire un tour sur le site VPCiste. Les petites bottes sont encore disponibles en 39. Elles sont toujours annoncées idéales pour l'été. Mais leur prix est curieusement remonté : 84,91 €.
Pour ce qui me concerne, je les ai commandées en août et les ai payées 44,95 €. Cherchez l'erreur.
16:29 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (28) | Tags : boots, new look, redoute, mode | del.icio.us | Facebook
mardi, 07 octobre 2008
Tout en japonais !
Ca m'est venu en zonant chez la poule à petits pas, lorsque j'ai vu les photos de la robe stressée et la couv' du livre qu'effectivement je ne connaissais pas.
Moi aussi, j'allais refaire de la couture. Moi aussi, j'allais acheter le Stylish Dress Book.
Le livre, ça n'a pas été bien compliqué, je l'ai trouvé sur e-Bay. Japonais, certes. Mais je n'ai pas douté une minute qu'il y aurait des explications en anglais.
Ben non.
C'est tout en japonais, cette affaire.
J'ai envoyé un petit mail à la Poule, qui m'a très vite rassurée. Il suffit d'être au calme et tout se passe bien. Soit.
Là-dessus, je me suis aperçue que Bakélite et sa Poupée qui fait non étaient aussi adeptes de la couture japonaise. Bakélite aussi, m'a rassurée.
Et puis j'ai découvert que les amoureuses de couture japonaise sont nombreuses. Et organisées. Elles animent même un blog collectif.
Rien ne dit que j'oserai un jour leur présenter l'une de mes réalisations.
En attendant, j'en ai quand même le projet.
Le genre liberty beige et brun me semble parfaitement convenir à la robe N.
Le wax est réservé à la robe F, version raccourcie.
Et quand je serai devenue addict, je passerais bien à la tunique Q.
Allez, on peut toujours rêver, hein...
EDIT : ça a l'air drôlement addictif, la couture japonaise. Je viens seulement de découvrir le principe du blog Japan Party. On vote pour choisir un modèle, et ensuite, chacune réalise et présente sa propre version en photo. Sur Japan Party II, les blouses "B" sont actuellement à la fête. Et à partir du 1er décembre, c'est la "S" qui défilera sur Japan Party III.
16:36 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (31) | Tags : couture japonaise, stylish dress book, mode | del.icio.us | Facebook