dimanche, 10 août 2008
Pour qui, les cadeaux ?
Bon, j'aime pas les tags : tous ces billets clonés qui fleurissent au même moment, pour un peu, tiens, ça me saoûlerait autant que les billets sponsorisés. Mais bref. Celui-là, qui m'a été adressé par Mariga(z) a tout de même eu l'heur de me plaire (alors même que je venais d'exprimer à Oriane qu'en plus j'avais plutôt du retard de publication sur mon blog et que donc le tag...). Il m'a plu, donc, à cause des cadeaux faits maison. Pas seulement pour en recevoir mais pour en faire, aussi. Parce que si je comprends bien la subtile arnaque du truc, c'est que t'en reçois un mais t'en donnes trois, de cadeaux.
Mais le plus rigolo c'est que je me demande bien, en pleine léthargie aoûtienne, qui va laisser un commentaire pour recevoir bientôt - encore que, 365 jours, c'est un tag créé par un(e) spécialiste en procrastination, à tous les coups - enfin, donc, qui, mais qui, va recevoir un cadeau artisanal par moi-même créé ?
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Voici les consignes:
1. Il faut obligatoirement avoir un blog pour participer.
2. Les trois premières personnes à laisser un commentaire à ce message recevront un cadeau fait maison de ma part, dans les 365 jours à venir.
3. Elles s’engagent en retour à faire de même sur leur blog. C’est à dire, recopier tout ceci, ainsi que le petit questionnaire, et envoyer en retour quelque chose aux trois premiers commentaires.
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Sinon, je suis sûre que tout le monde s'en fout, de savoir que j'aime bouffer du riz au lait ? Si, on s'en fout. Mais OK, je réponds aux questions, allez.
Il y a 10 ans...
Il venait de naître, le Ptit Mec en slim. Pas de blogs encore. J'aurais de toutes façons pas eu le temps.
5 endroits où j'ai vécu...
J'ai déjà quatre villes que j'aime pas au compteur. Deux à l'Ouest et deux à l'Est, c'est équilibré. Je me demande quelle sera la cinquième.
3 plats que j'adore.
Ah mais moi, du moment que j'aie pas à me coller aux fourneaux, j'en adore bien plus de trois, des plats.
5 choses que j'ai faites aujourd'hui.
Me faire un café. Puis un autre. Puis un autre. Puis un autre. Puis un thé. Qui a dit une camomille ?
Ce que je ferais si j'étais riche...
Nan mais attends, riche ? Mais vraiment ? Genre la manne qui tombe du loto auquel je joue pas, qui représenterait plusieurs siècles de mon salaire et qui serait rien qu'à moi ? J'arrêterais de bosser, pour commencer. Enfin non, même pas vraiment. Je deviendrais blogueuse modeuse professionnelle. Et j'irais vivre dans une ville que j'aime bien, quitte à souvent en changer.
En retour, je ne tague personne, puisque de toutes façons, les auteurs des trois premiers commentaires se seront de fait auto-tagués.
14:34 Publié dans De quoi être fière | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : blogo | del.icio.us | Facebook
vendredi, 08 août 2008
Un caleçon Marant très estival
Donc, ce fameux caleçon de grand-père Isabel Marant ?
Amis de la pièce structurée et du look ultra-sous-contrôle, passez votre chemin. Le caleçon de grand-père, c'est le t-shitrt loose version pièce du bas...
En tout cas, elle y croit, Isabel, au potentiel de son caleçon, qu'elle a fait défiler et redéfiler sans se lasser lors du show hiver 08-09.
Or, une pièce de collection hiver vendue dès juillet et fabriquée en lin, c'est l'assurance de la porter en été. Et en hiver ? Ce sera à voir.
Je me suis donc lancée dans des expérimentations estivales.
Bon, il faut certes se faire à la braguette à boutons purement décorative, vu la taille élastiquée du truc, mais je peux dire que ça fonctionne.
Avec des t-shirts...
améliorés ou non d'un gilet, avec des blouses, même avec un blouson de cuir crème.
C'est parfois un peu plus compliqué pour les chaussures. Mais à peine. Même si je préfère l'associer à des talons, je portais des Converse quand je l'ai acheté, ce caleçon. La vendeuse de la boutique, qui venait de déballer les cartons et n'avait pas encore vu la chose portée a jugé que ça passait.
Je ne le porterais pas ainsi, mais le voici donc tel que dans la version brute de l'essayage en boutique.
Quelques silhouettes caleçonnées sont visibles sur ma page Modepass.
Détails : blouse fleurie et blouson de cuir Zara, sandales No Name ;
t-shirt viage H&M, pull rouge délavé American Vintage ;
t-shirt H&M, gilet Sophia Kokosalaki, compensées Pastelle ;
t-shirt H&M, gilet La Redoute.
15:28 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : mode, marant, legging | del.icio.us | Facebook
mercredi, 06 août 2008
Une touche de blanc d'hiver sur fond noir
Lundi, j'ai acheté ELLE. Comme d'hab'. Mais je ne l'ai ouvert qu'hier soir. Faut dire que Cécile de France dans le plus pur style Chasse Pêche Nature & Traditions ne m'avait guère inspirée, mais bref, ce n'est pas le sujet.
Je l'ai ouvert, donc, et je suis tombée en arrêt devant les pages sur les blancs d'hiver qui entraient si bien en résonnance avec mon billet du jour sur le blouson de motard crème. Ce crème qui n'en est pas vraiment un, tirant un peu sur le gris. Je le savais, que ce blouson serait parfait cet hiver.
En faisant le tour de cette revue des tendances de l'hiver à venir, qui s'affiche sur neuf doubles pages, je me suis aperçue que plusieurs d'entre elles figuraient en bonne place parmi mes récents achats.
La première, c'est bien sûr le noir en gloire. Plusieurs jours que mon Blog-it le clame, je veux du noir.
J'ai concrétisé avec le caleçon de grand-père Isabel Marant. Mais pas seulement. Un robe Zara aux faux airs de Maranterie (sur laquelle je reviendrai dans un prochain billet) le confirme elle aussi.
Les carreaux gagnants ?
Je suis pourvue. Notamment grâce à ma chemise achat coup double.
La dentelle ?
J'y viens doucement, par le biais d'une blouse en soie Bel-Air achetée dernièrement en vente privées. Noire.
Gipsy mélodie ?
C'est une mélodie que je me laisse facilement aller à écouter. Entre autres avec une robe de soie Circus & Co, elle aussi dénichée sur site de vente privée et sur laquelle je reviendrai aussi. Et qui s'accorde à mon gilet de fourrure Essentiel.
Ce qui illustre aussi la tendance touche fourrure.
Le camel revival ?
J'ai repensé à ma petite veste vintage 70's mais j'ai finalement choisi d'illustrer avec l'une de mes meilleures trouvailles de soldes : cette ceinture de cuir Naf-Naf. Sur fond de robe Bel-Air, encore une solderie de ventes privées, qui s'accorde elle aussi à la tendance gipsy.
Je n'ai pas trouvé à illustrer la tendance pleins volumes, ni la symphonie en gris ni les sexy dresses. Pas mon style ou à venir plus tard dans la saison ? Wait & see...
15:19 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : mode, elle, tendances, marant, bel-air, citcus & co | del.icio.us | Facebook
mardi, 05 août 2008
Une crème de blouson crème
Paris au mois de mai. Son Palais Royal, ses jardins refleuris. Oui, d'accord, mais bon.
Paris au mois de mai. Une longue file d'attente à la caisse de Zara. Rien d'autre à faire que de regarder autour de soi. Et je le vois. Un blouson de cuir ? Un autre, encore ? Et cette couleur ? Oui, justement, cette couleur : crème. Il n'en reste qu'un, une taille S, pas même besoin d'essayer, ce sera trop petit pour moi.
Et le prix ? 199 € ! Pour du Zara !?! Et crème ?!
S'il y a quand même bien un truc drôlement casse-gueule, c'est le cuir blanc. Pardon, crème.
Je repars dans ma-ville-que-j'aime-pas-dépourvue-de-Zara. Pour le blouson, les soldes, peut-être ? J'en visite d'autres, des Zara. Dès la fin mai, plus le moindre blouson de cuir. Ni crème, ni autrement. Alors, hein, les soldes...
Les soldes arrivent pourtant, il est introuvable et j'y pense toujours, au blouson crème. Pas si grave. Avec quoi le porterais-je, d'abord ? Justement, je ne sais pas. Justement, ça changerait.
Je prie St e-Bay. Lui fais chaque matin quelques dévotions. Le blouson crème apparaît. Une taille S.
Je m'obstine. Les gens vont se lasser. On achète un blouson crème sur un coup de tête et très vite on ne sait plus quoi en faire.
Je m'obstine. Je sais, que j'ai raison. Un autre blouson crème s'affiche. Une taille S.
Je m'obstine. Je persiste à avoir raison. Un nouveau blouson crème est mis en ligne. Une taille M. 45 €, emballé c'est pesé, le petit prix permettra d'y ajouter le pressing. Depuis que je l'ai reçu, peu à peu je l'apprivoise. Juillet et août sont trop chauds pour porter du blouson de cuir. Même crème. Il ne perd rien pour attendre, le caleçon de grand-père Isabel Marant lui est une bénédiction, au simili-motard. Affaire à suivre.
Détails : blouse en soie fleurie Zara, t-shirt les yeux aux ciel H&M
12:49 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (26) | Tags : mode, cuir, motard, zara | del.icio.us | Facebook