lundi, 04 août 2008
Nadia Comaneci aux JO le 19 juillet 1976
La gymnaste roumaine Nadia Comaneci fait la couv' de ce ELLE du 19 juillet 1976. Elle est un grand espoir du sport international, précise ELLE. Cette jeune Roumaine de 14 ans et demi est déjà championne d'Europe.
Allez, je résiste pas, je suis allée regarder sur Google, et Nadia Comaneci aujourd'hui, la voici :
Je n'ai pas cherché à savoir si elle dit merci à son chirurgien esthétque...
A l'approche des JO de Montréal, ELLE est allé à la rencontre de l'ex-championne Colette Besson, Médaille d'or à Mexico en 1968, recordwoman olympique du 400 m à 22 ans, est devenue, à 30 ans, conseiller technique à l'Education nationale. En 1972, à Munich, elle n'est pas allée au-delà des quarts de finale, et reconnaît que sa soudaine célébrité lui a sans doute joué des tours. Elle dit aussi avoir beaucoup de mal à redevenir une femme comme les autres. Elle a repris l'entraînement. Courir, c'est vivre.
L'été en ville, quand il fait très chaud et qu'il faut travailler, la difficulté est d'allier le confort à l'esthétique. ELLE propose des solutions, chemise de grand-père en fine toile (Agnès B) ou robe à poche kangourou (Christian Aujard).
Rouge, bleu, jaune, des couleurs toniques et gaies pour se donner du coeur à l'ouvrage quand chaleur rime avec torpeur.
On se console d'être déjà ou pas encore partie en obe polo en jersey rayée rouge et blanc (Georges Memmi)
ou robe évasée en coton indien violet (French Connection pour La Nacelle).
Les jolis accessoires d'été mettent en avant les matières naturelles et les couleurs sable.
Espadrilles et foulards jouent les couleurs vives.
Plus d'idées que d'argent ? On les enfile tôt pour courir au marché, le soir on les raffine de sandales hautes, de colliers fleurs, de châles et de turbans. La robe-tablier à gauche est vendue au Club 20 ans des Galeries Lafayette. Le bon Magique est une robe bain de soleil champêtre à porter avec des sandales en plastique de Popy Moreni (98 F pour un ELLE à 5 F, soit 45,08 € pour un ELLE à 2,30 €).
Les ongles d'été sont multicolores et même parfois bleus, de ce bleu sombre, chez Dior (en bas à droite), qui se porte aussi en 2008.
Une autre conquête de l'espace, c'est celle du loft, un style de vie typiquement américain et actuel. Il s'agit de transformer en de spacieux appartements d'anciens locaux commerciaux, entrepôts, fabriques qui, victimes de grands trusts, ont dû fermer leurs portes.
Les lunettes spécial bain de soleil se vendent en pharmacie et dans les grands magasins. Elles permettent de bronzer en protégeant ses yeux mais sans marques disgracieuses.
Les peaux de chamois s'accordent aux peaux bronzées. ELLE propose même des explications pour réaliser ses spartiates soi-même.
Hotte, sac à dos ou porte-bébé, on porte tout sur son dos, en gardant les mains libres.
S'habiller d'une serpillère n'est pour ELLE pas une image. Sont proposés les patrons d'une tunique à capuche à réaliser en 10 petites sepillères de table à 85 centimes pièce.
La robe est composée de deux grandes serpillères, 5,40 F chacune.
Vivement lundi prochain !
13:51 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (22) | del.icio.us | Facebook
dimanche, 03 août 2008
Ne manquent plus que les cierges
Il y a un an, alors que j'inaugurais donc à peine ce blog, une balade aux joli marché aux puces de ma ville que j'aime pas m'avait valu une belle trouvaille : une boîte à musique religio-kitschissime juste comme j'aime.
Pas même sûr que j'y sois retournée depuis, aux puces, la météo automnale me décourage le plus souvent. Et en été, les brocs de village sont promesse de prix plus abordables. Mais en ce premier dimanche d'août, pas d'autre déballage dans les environs, je me suis décidée. Sur le fil. Parce que doucement le matin etc. et qu'à midi tapante, tout le monde remballe.
Dès le deuxième stand j'ai avisé une paire de pique-cierges d'église en bronze, assortis de leur crucifix. Comme pour la boîte à musique, j'ai demandé le prix juste pour rigoler. Et de nouveau, je n'ai même pas tenté de marchander.
Pas plus chers que deux bougeoirs quelconques dans une grande chaîne de déco : je les imagine déjà pourvus de grosses bougies colorées.
14:40 Publié dans Chineuse d'opérette | Lien permanent | Commentaires (7) | del.icio.us | Facebook
vendredi, 01 août 2008
Un an déjà... et nouvelle adresse
12:59 Publié dans De quoi être fière | Lien permanent | Commentaires (33) | Tags : mode, blogo, blas-blas, anniversaire | del.icio.us | Facebook
jeudi, 31 juillet 2008
Hiver Marant vs hiver austral
La campagne été 2008 Isabel Marant a impressionné ma rétine au-delà du raisonnable. Oui, cette même campagne brillamment décryptée par Mario chez Eugénie, comme je l'avais déjà signalé.
Le caleçon de grand-père ? Ouais bof, j'avais dit en le découvrant. Et puis à la réflexion, pourquoi pas ? Oui, sauf que non. J'ai finalement acheté le sarouel en crépon, pour l'été. Mais il ne m'étais pas sorti de l'esprit, ce caleçon.
Faire les fins de soldes non plus, ça ne m'est pas sorti de l'esprit. Pas dans ma ville qua j'aime pas, mais dans la petite "capitale" d'à côté, où le choix des marques proposées est tout de même bien plus excitant. Oui, sauf que non. Encore trop chère, pas assez hivernale (ce qui en soi n'a rien d'étonnant, sur une collection d'été, mais, c'est comme ça, je cherchais de l'été à porter en hiver) ou alors tellement ressemblante à ce que j'ai déjà : aucune pièce n'a trouvé grâce à mes yeux.
Mes envies mode sont bien en hiver, et depuis plusieurs semaines déjà. Des envies de noir, de pantalon carotte, de bottes fauves, ou alors en daim... noir.
En daim noir ? Tiens, oui, mais c'est bien sûr, comme celles... de la nouvelle campagne Marant. Ou alors à semelles de crêpe. Comme le modèle de chez Gérard Darel. Je suis allée y jeter un oeil, chez le Gérard. Pas mal, ses bottes, même pour moi qui ne suis pas dingue de cette marque au prénom tout sauf hype. Pas mal ? Mais dans la boutique par moi visitée, pas de daim noir. Du beige, du gris. Et en noir ? Eh bien en noir, c'était du cuir verni. Et avec une semelle de crêpe, le cuir verni m'a paru, comment dire... pas trop réussi.
Alors ses bottes, à Gérard, s'il ne les a pas faites en daim noir, ça risque fort d'être oui sauf que non.
Et puis vint Isabel. Qui a ressorti pour l'hiver son caleçon de grand-père. En lin. Du lin d'hiver, quoi.
C'est quand même drôlement malin, parce que je vais pouvoir le porter tout de suite. Et sûrement faire avec des expérimentations photo de haut vol.
En attendant que je les mette en ligne, je ne saurais trop recommander une visite dépaysante sur la Boîte à Malices et à Bazar de ma Bam-Lisa de fille. Elle y a refait la déco, et surtout, elle a mis en ligne pas mal de photos prises ces derniers jours à Melbourne et dans les alentours.
Dont ce sublime coucher de soleil hivernal.
17:50 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : mode, marant, caleçon, sarouel, bottes, darel | del.icio.us | Facebook