samedi, 12 juillet 2008
C'est samedi, c'est cheaperie
20:29 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : mode, cheap, isabel marant, american vintage | del.icio.us | Facebook
vendredi, 11 juillet 2008
Un sur deux, une bonne moyenne ?
Alors, ce pantalon sarouel de l'hiver prochain à porter en été ?
Pas mal. Pas mal du tout, je l'ai déjà adopté. Il n'a de sarouel que le nom, en fait, la fourche est à peine descendue et je crois bien le porter davantage taille haute que le mannequin de la photo. Pas si sarouel et pas si pantalon non plus, vu qu'il m'arrive au milieu du mollet. Mais pas grave, puisque je l'avais acheté dans l'idée de le rebouler...
Je reboule, donc. Et je le porte avec le gilet de cuir arrivé en même temps que lui et dont le prix est mystérieusement remonté depuis. N'importe nawak, ces soldes.
Et puis la ceinture que je ne quitte plus. Large, fauve, en cuir, bien soldée et dénichée chez Naf-Naf, dont le rayon accesssoires m'avait déjà valu d'heureuses suprises par le passé.
Et ce collier H&M Homme retrouvé il y a peu alors que je l'avais oublié et dont j'aime le petit courrier émaillé.
Une variante tout en noir.
Mais avec une kitscherie foulardesque en ceinture pour égayer le truc.
En revanche, la jupe taille haute va retourner d'où elle vient.
Une drôle de grimace, particulièrement au niveau du zip, m'a convaincue que je n'aurai pas envie de la porter.
Zou !
16:06 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : mode, sarouel, redoute | del.icio.us | Facebook
jeudi, 10 juillet 2008
Une sorte de loose, ça s'appelle
1.000 euros.
Qu'est-ce qu'on peut faire avec 1.000 euros ?
On peut par exemple largement acheter l'équivalent de cette page de t-shirts se pavanant dans le nouveau Jalouse qui fait le mâle et qui donc s'appelle Jaloux.
On n'est pas loin de pouvoir acquérir une veste Dior Homme pour se la jouer luxueusement androgyne
Et puis, sans crier gare, on peut aussi se retrouver à les "investir" dans un jeu de bougies, un lot de plaquettes de freins et disques assortis (elle sont couvertes d'or 18 carats, les plaquettes, à ce prix, d'où leur nom ?), quatre amortisseurs, un peu de résine à combler les impacts de pare-brise, un capteur de point mort haut et aucun raton-laveur. Et la main d'oeuvre prétendument compétente, je suis pas mécano, non plus, malgré ma conversion récente à la combi.
D'un seul coup d'un seul, j'ai trouvé que la grimace habituellement un peu niaise de la calandre de ma Twingo - laquelle avait pourtant brillamment passé le contrôle technique il y a à peine deux mois - prenait des airs sardoniques.
Avec en projet le billet que voici, j'ai pris la photo que voilà.
Et que croyez-vous qu'il arriva ?
L'optique de mon Nikon, impressionnée par ce sourire carnassier et les richesses insoupçonnées planquées sous le capot de cette f...king de b...del de ch...ttasse de bagnole de merde (avec laquelle j'aurai cependant bientôt fait l'équivalent de deux fois le tour de la Terre) est subitement partie en live.
Niqué, le Nikon. Rideau, l'appareil photo. Oui, celui-là même que j'ai racheté y'a pas six mois après avoir involontairement matraqué le précédent. Tout seul comme un grand, sans cette fois aucune malencontreuse intervention de ma part.
Je prends donc un peu d'avance sur mes prises de vue de foularderies et de ELLE vintage grâce à l'APN de Bam-Lisa, avant qu'elle ne l'embarque, d'ici à peine plus de 24 heures, pour les antipodes.
Après quoi j'attendrai que le service après-vente ait statué sur le sort de mon infortuné numérique. Avec un peu de chance, d'ici là, mon scanner continuera de fonctionner ?
00:43 Publié dans C'est que mon avis | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : mode, dior, twingo | del.icio.us | Facebook
mardi, 08 juillet 2008
Des souvenirs mais pas de mémoire
Tout est parti d'une collection été de Martin Margiela, il y a une quinzaine d'années. J'avais adoré son utilisation de foulards recyclés mais n'avais pas eu les moyens d'acheter le gilet qui me faisait rêver..
Peu de temps après j'ai acquis un foulard de soie Souvenir de Venise aux puces. Et puis je l'ai trouvé si kitschement beau que je n'ai jamais eu le coeur de le tailler pour tenter d'en faire autre chose. Je ne l'ai jamais porté tel que non plus...
Il y a quelques semaines, j'ai ramené d'un marché de vacances un lot de foulards vintage. Dont deux issus de boutiques de souvenirs.
Un rose.
Un rouge.
Je les porte en bandeau, dans les cheveux. Je viens seulement de me souvenir de Venise. Cette fois, je sais que je vais le porter cet été.
23:54 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : mode, vintage, foulards | del.icio.us | Facebook