lundi, 23 juin 2008
Retour sur mai, le 17 juin 1968
00:05 Publié dans Ah, c'est ELLE... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (15) | del.icio.us | Facebook
samedi, 21 juin 2008
Photogénie
En passant dans les rayons de la Fnac.
Est-ce à dire qu'il vaut mieux être photogénique pour avoir des chances d'être édité ?
Euh, pardon, éditéE ?
22:24 Publié dans C'est que mon avis | Lien permanent | Commentaires (22) | del.icio.us | Facebook
Esprit Bloomsbury
C'est un de mes livres préférés, en anglais, et je ne crois pas qu'il en existe de traduction française. Je l'avoue, je l'ai acheté pour les images. Il représente pour moi la quintessence de ce que j'aime en déco. Un intérieur artiste et bohème, à une époque où l'on n'employait pas à ce sujet l'affreux terme de bobo.
Vanessa Bell dans son jardin, 1925
Charleston, a Bloomsbury house & garden présente la maison où travaillèrent, au début du XXe siècle en Angleterre, les artistes du Bloomsburry Group, parmi lesquels Duncan Grant et Vanessa Bell, soeur de l'écrivain Virginia Woolf. Ils peignirent les murs et les meubles, même la cheminée y passa.
Bien.
Et quel rapport avec les immondes croûtes que je viens d'aller acquérir au dépôt-vente - faute de brocantes ces derniers temps, compromises qu'elles étaient par la pluie ?
Absolument aucun.
Sauf que je vois déjà ce que je vais en faire, de mes croûtes fleuries et de mon kitschissime plateau gravé, et que ce sera Bloomsbury dans l'esprit. En quelques touches de couleurs et quelques coups de pinceaux. Si, si.
00:32 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : déco, bloomsbury | del.icio.us | Facebook
jeudi, 19 juin 2008
Belle, belle, belle, au coeur des 50's
Où en était la pub de cosmétiques, dans les années 50 ? Pleine de produits miracles et de maquillages sophistiqués, comme aujourd'hui ?
Dans le numéro de ELLE du 1er juin 1953 consacré au couronnement d'Elisabeth II, je me suis intéressée aux pubs et l'on y perçoit l'approche de l'été. S'agissait déjà de rentrer dans son maillot et d'avoir le teint frais. Même la reine d'Angleterre, depuis son carrosse, avait de quoi songer aux vertus de la Boldoflorine.
Et puis sinon, on compte sur Gene Tierney, qui sait ce qui est bon, question savon : Lux.
On n'a pas encore de Botox mais on rajeunira quand même en 20 minutes, grâce à Vegebom.
Après quoi on pourra unifier la peau sans en empâter le grain, grâce la Crème idéale. C'est Coty qui le dit.
On a l'oeil qui brille, grâce aux éternelles gouttes bleues d'Innoxa.
Et on aura même le cheveu assorti, grâce à Roja tellement plus propre que tous leurs produits épais. Leurs produits ? A qui ? On saura pas.
Plus d'embonpoint ni de cellulite si on se sert du pétrisseur Sterling.
On arbore un sein ferme et fier avec Sero Sein 529. Au passage, pas beaucoup de seins dévoilés dans les ELLE de cette époque. A part dans les pubs, j'en avais déjà donné quelques exemples ici.
Après quoi, reste à se faire l'ongle bien rouge avec la meilleure laque du monde, celle de Chen Yu.
Et une bouche assortie grâce au rouge à lèvres de... Louis-Philippe.
Un peu de poudre de chez Molinard, parfumée à Habanita et le tour est joué, on a tout de la pin-up ?
Pour finir, ne pas oublier d'aller lire le nouveau WOW intitulé Girl Next Door. Sans Vertiges de la mode, mais je reviens pour le # 12.
15:36 Publié dans De la pub, mais... vintage ! | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : beauté, pub, vintage | del.icio.us | Facebook