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mercredi, 30 janvier 2008

ELLE me fait de la peine

e2b03bc9cc2dc1e9e5738fac95c08c7f.jpgEn regardant la couv' du ELLE de la semaine, j'ai évidemment préféré ignorer l'astro chinoise, le mari qui ne veut pas vieillir et la méthode Fillon à la maison. Non, moi, ce que j'ai vu, c'est le titre qui nous promettait un peu d'été dans l'hiver. Et je me suis très vite rendu compte qu'en fait, ce numéro, c'était beaucoup d'hiver dans l'été. Tous ces gimmicks mâchés et remâchés au cours de la saison passée, ELLE ne les a toujours pas lâchés.

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Ca commence fort. Et mal. Avec une Kate Moss qui fait peine à voir. Que dire du cheveu frisotté, de cette étoile sur l'oeil à la Kiss - avec combinaison Chanel assortie - de ces compensées argent griffées Havilland ? ELLE parle d'inimitable style et demande qui veut copier. Qui, mais qui ?

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Ca continue avec le pull happy bird's day. La réédition d'un pull, qui, en fait, s'appelle Mon oiseau rouge (1972) et qui ne me semble pas être ce que Rykiel a fait de mieux. Mais comme depuis la rentrée nous sommes abreuvés de pulls à smiley et autres joyeusetés, ELLE ne pouvait passer à côté.

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4d469eb2b51ea05011a71df8ab1b94f0.jpgMais le gros morceau, le truc énorme de la semaine, c'est le dossier consacré aux low boots. Là, j'ai quand même fini par douter : avais-je bien entre les mains le numéro de la semaine ? Mon buraliste n'avait-il pas tenté de me refiler un invendu de septembre dernier ? Outre que le sujet des low boots a déjà été traité et retraité, les exemples pris pour illustrer le papier ne laissent guère de doute. Les 8 trucs à piquer aux podiums sont issus des podiums de mars dernier. Ca se confirme avec l'échantillonnage de boots présenté. J'ai immédiatement repéré le modèle de Chie Mihara. D'une part parce que j'en avais fait écho dans l'une de mes notes le... 9 août dernier. D'autre part, parce qu'il y a quelques jours, je suis allée voir sur Sarenza si on le trouvait encore. La réponse était oui, à condition de chausser du 36. A ce niveau de péremption, je ne sais s'il faut parler de mépris de la lectrice ou tabler sur une collision espace-temps survenue à notre insu à la rédaction du magazine. Un coup de chaud ?

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Un coup de chaud c'est le titre de la série mode censée mettre un peu d'été dans l'hiver. Elle ne m'inspire pas grand-chose, si ce n'est que le curseur est de nouveau sur décennies passées et notamment les 70's.

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Et la robe longue de hippie, je ne parviens toujours pas à en avoir envie...

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Quant aux photos, je me demande depuis plusieurs semaines à quoi correspond cette surexposition fréquemment rencontrée dans les séries mode. En voici encore un exemple parlant.

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L'icône fashion est Anita Pallenberg. Une belle référence que cette mannequin actrice ex-épouse de Keith Richards mais une inspiration du passé.

51ee5f64c6b6317b9f5a473b3987350d.jpgJuliette Binoche en blonde me renvoie aux 60's et me rappelle Jeanne Moreau dans la Baie des Anges, décolorée de la même façon, coiffée de la même façon. Françoise Fabian est magnifiée par Peter Knapp. Le passé serait-il donc toujours plus inspirant que notre présent ?

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Reste un parfum de rose. Je ne donne pas le titre de l'article, tiens, on verra si quelqu'un qui n'a pas lu ELLE va le trouver. Allez, c'est facile !

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On souligne que Kate Moss vient de créer sa propre fragrance. On la souhaite plus inspirée que lorsqu'il s'agit de se coiffer. Heureusement que Jean-Claude Ellena, parfumeur de la maison Hermès, sert de caution culturelle à l'article.

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Finalement, de désespoir, j'en viendrais presque à m'intéresser aux pages cuisine, si l'émule de l'almanach Vermot ne me poursuivait jusque-là avec son Safran... chement formidable !

Je ne vois rien à ajouter.

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Ah, si ! Au point où on en était, ce lundi, le Pantalon thaï m'a ré-écrit pour m'annoncer ses soldes. J'en déduis que même un épouvantable intemporel comme le Pantalon thaï a compris que nous allions changer de saison...

A ELLE, non.

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mardi, 29 janvier 2008

Du cuir et de la mousseline

Les soldes c'est bien. Sauf que pendant les soldes, les collections de printemps montrent le bout du nez. Alors que je flânais à la recherche de énièmes démarques, je suis tombée en arrêt.

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 Ce n'était pas un achat prévu. Les vestes et blousons de cuir, ce n'est déjà pas ce qui me manque.

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Mais pas en veste façon vintage telle que celle-ci. Pas en fauve. Qui plus est pas en fauve à la patine qui, quoiqu'artificielle, soit plutôt réussie, tirant parfois sur le beige. Une peau toute souple qui ne fait pas cheap, un zip, des pressions, une ceinture, de multiples poches : un coup de foudre. Qui a passé avec succès le test de la cabine d'essayage.

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A quelques portants de là, je suis de nouveau tombée en arrêt. La tendance fleurie, voilà plusieurs saisons que je pratique. La mousseline aussi. Et même un peu le jaune.

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Dans ce petit top, tout est réuni, avec un effet patchwork harmonieux.

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Et un joli boutonnage dans le dos.

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Les deux pièces se mettent en valeur l'une l'autre. Je ne me suis même pas ruinée, l'ensemble vient de chez Zara.

Le décryptage de ELLE est pour demain. Aujourd'hui, je préférais parler de la mode du printemps... Pas de celle de l'automne dernier.

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lundi, 28 janvier 2008

L'Abbé Pierre le 15 février 1954

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Ce n'est donc pas d'aujourd'hui que ELLE fait sa couv' avec des épouses de présidents de la République, ou ex-mannequin assimilée. Le 15 février 1954, Madame la présidente c'est Mme Coty. Elle a le nom de son mari, et pas de prénom. C'est juste Madame Coty. Elle n'est guère glamour et pas davantage bling-bling. Du coup, c'est le fauteuil qui occupe le premier plan.

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Madame Coty et sa petite-fille Janine n'ont fait que bien écouter le photographe, nous précise-t-on. C'est le fameux hiver 1954, si froid et si difficile pour les mal logés de l'Après-guerre. L'Abbé Pierre donne de la voix. Madame Coty est allée le voir.

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Et à embrassé au passage un nouveau-né que ELLE tente de faire passer pour un bambin de six mois.

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On n'en saura pas davantage sur Madame la Présidente mais le magazine en profite pour consacrer un dossier à l'action de l'Abbé Pierre.

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De la construction de l'entrepot à Neuilly-Plaisance en 1952.

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à son fonctionnement en 1954.

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Le reportage montre aussi comment les maisons "en dur" remplacent peu à peu rolottes et camionnettes, à gauche 1952, à droite 1954..

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Côté mode, on salue l'arrivée prochaine du printemps... avec des manteaux. Le prêt-à-porter est plus dynamique, plus jeune, plus réussi que jamais. Le prêt-à-porter fait alors encore figure de nouveauté. Les patrons et tailles mannequins sont mis au point par des spécialistes. Des scies circulaires coupent d'un seul coup un matelas de 500 épaisseurs s'émerveille ELLE. Les machines donnent 5000 tours-minute, cousent des pourlets invisibles en 59 secondes et les boutons se fixent comme par enchantement.

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Le printemps, c'est aussi des robes, toutes en soie, qu'il s'agisse d'organdi ou de shantung.

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Et les tailleurs sont bien plus jolis en couleurs.

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Pour celles qui cousent encore elles-mêmes ou s'adressent à leur couturière, les tissus de printemps sont prêts. Au programme notamment des tweeds d'été bleu pâle et des alpagas crème.

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Dans 15 jours ce sera Mardi Gras et on est invité à se déguiser. Mes modèles préférés sont sans conteste M. Permis et Mlle Auto-Ecole, en haut à droite.

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Côté beauté, ELLE propose une preuve par 9. On ne parle pas encore de detox. Mais une cure de désintoxication est pourtant déjà conseillée une fois par mois, durant 24 heures, à base de bouillons et de tisanes.

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Le logement reste au coeur des préoccupations du moment et en fin de journal, on trouve le dernier prototype de la préfabrication française. Une maison pour débutants qui pourra être agrandie par la suite. La maison coûte 2.700.000 F pour 88 mètres carrés habitables (pour un ELLE à 50 F, soit 124.200 € pour un ELLE à 2,30 €).

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Le coin-repas communique avec la cusine grâce à un meuble passe-plat.

Vivement lundi prochain !

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samedi, 26 janvier 2008

Romantisme et japonais cheap

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J'ai de la requête de compet' cette semaine : sinon je vois pas trop ou j'ai pas répondu a ce que tu voulais, que ca soit enchantement, style de jeu, j'ai décrit les choses comme je le pensais. Et là, moi, je le dis comme je le pense : je vois pas trop non plus, si j'ai répondu ?

Pour ce dix-neuvième florilège, il ne sera question que de filles que je connais désormais même de dans la vraie vie. Sauf une, la dernière. Mais il s'en est fallu de très peu... Alors voilà... j'ai pris les comm's des unes sur les blogs des autres. Et vice-versa. Sauf une exception. Chez Material Girl, j'ai choisi un comm' dont elle m'avait parlé. Un comm' bien particulier, un comm' qui vaut un billet. Et qui m'a permis de connaître un nouveau blog. Et quel blog !

Le temps d'un déjeuner avec Marie Sue, on a parlé de mode. Et puis de mode. Et un peu de boutiques. A l'image de son blog, Marie est riche de ressources et de bonnes adresses. Elle partait après notre entrevue en quête du stock Maje à Alésia, j'ai fait mine d'être celle qui se la joue culturel en visant l'expo Lacroix du musée des Arts Déco. Lequel présente l'immense avantage d'être pas bien loin de la rue Saint-Honoré et pas si loin de la rue Etienne-Marcel non plus. Sauf qu'il pleuvait. Et que j'ai finalement atterri au Bon Marché pour ne rien acheter. Bref. Marie, sache que la boutique Joy, je me la réserve pour un prochain voyage !

Il se trouve qu'on est de la même école, avec Material Girl. Autant dire qu'on a aussi parlé boutique(s), le temps d'un autre autre déjeuner. Et blogs. Merci encore de m'avoir fait découvrir celui de Poirette.

Avec MH, je me suis mal conduite. Le temps d'un café serré un jour de boulevard Haussmann à moins 15 % sur les soldes, je suis venue la faire baver sur ma veste Marc Jacobs à 61 € . Pour une première rencontre, c'est pas des choses qui se font. MH, pardon.

Dans Gueule de comm' il y a chaque fois un comm' de Violette. Une sorte de private joke dont je ne sais plus trop comment elle est venue. Ca méritait bien d'aller s'attabler un soir avec elle dans un resto italien. Mais rencontrer Violette sans faire la connaissance de son Hôtesse de l'Air préférée, était-ce vraiment rencontrer Violette ? Alexiane est venue nous rejoindre avec sa bicyclette bleue. Et comme je ne fais pas de vélo, c'est bien dommage, mais on n'a pas pu commander de troisième bouteille. J'ai dû aller prendre le métro.

Quant à Domino, un impératif de dernière minute s'est mis en travers de notre rendez-vous. Ce n'est que partie remise. Et le téléphone, c'est quand même déjà la vraie vie...

C'est parti pour une dix-neuvième, donc !

Chez Material Girl qui s'interrogeait sur la vie, la mort des marques, notamment celle de Madeleine Vionnet, Poirette a dit le 15 janvier : Hello Material Grirl ! et tout d'abord, merci pour ton passage remarqué sur mon blog et ton coup de pub (ça ft tjrs du bien, vois-tu je ne suis pas une très bonne communicante, parfois le manque de temps, souvent la flemme du commentaire..) mais je te suis depuis un petit bout de temps. j'aime ta virulence, ton peps, ton côté rock, go on !!

Je me sens très concernée par ton dernier post, j'ai aussi appris le départ de Marc Audibet, surprise car je trouvais que ce rôle lui allait à merveille et serait un moyen pour lui de remonter sur les catwalks (je le connais un peu car je travaillais ds une boutique Vintage et il était l'ami proche de la proprio, je peux te dire que c'est un puits de savoir cet homme, capable de te sortir une anecdote du marquis de la brosse à chiotte, et quand on ressasse les livres des années 80, on voit bien que sa mode sort du lot, intemporelle et visionnaire (c'est peut-être pr ça qu'il a dû fermer à l'époque, il était trop en avance avc ses matières sportswear adaptées sur de la H-C, dc incompris, cruelle mode...d'ailleurs il y avt une interview passionnante de lui par Cédric St André Perrin ds un numéro de Magazine, je ne sais pas si tu l'as lu ?) Vraiment dommage ce départ, surtout que ns n'avons ps eu le temps de voir ce que sa collaboration a donné, hormis les prix exorbitants exhibés chez Barbey's (le mystère était aussi bien caché..)

Peut-être comme tu dis assistons-ns à la fin d'une ère, et je l'espère, à cette ère où le fric est roi, l'emportant sur la création. Et peut-ê aussi est-ce un mal pour un bien. Laissons Madeleine et sa gloire immortelle rayonner au-desssus de notre siècle, et continuons à rêver à l'ouverture de l'un de ses ouvrages. Pourquoi les réveiller, pour ensuite entendre une presse descendre le malheureux styliste en disant qu'il est loin de lui arriver à la cheville ? (Ghesquière est une exception, un petit génie avec une vraie vision... ce n'est pas moi qui le dit, c'est son équipe de stylistes insomniaques). Et pourquoi pas, pendant qu'on y est ne pas réveiller le Poiret — mon maître comme je me plais à le claironner partout ?? Ridicule. Sa mémoire est son histoire ne doit pas être entachée de quelques ambitions monétaires. Lui n'est pas mort clochard pour voir sa griffe avalée par je ne sais quel portefeuille LVMH ou PPR.

Reste tout de même un point positif à ces "renaissances": les grandes maisons sont de plus en plus disposées à entretenir leurs archives (j'entends mettre du budget, ce qui n'est pas une mince affaire, les archives que l'on a toujours relégué en "trucs à poussière"). Aujourd'hui Chanel, St-Laurent, Dior, Balenciaga, c-à-d slmt les grandes maisons, ont des archives dignes de ce nom. Il reste encore bcp de progrès à faire (Ricci, Lanvin, Balmain, et même pr les récents, Marc jacobs, Galliano on en parle pas c un désastre il détruit tout année sur année) mais avec la valorisation du patrimoine (démarche ceci dit intéressée puisque oeuvrant pour l'image de marque dc le marketing), les ignards commencent à prendre conscience de la richesse d'une telle histoire. Nous avons svt tort d'oublier que la France est le berceau de la Haute-couture, combien de pays se damneraient pour avoir cette chance ?

Aussi, je reste pessimiste, et j'attends comme vous la fin des grands groupes pour le retour à la création, ta da !!!
(désolée pour ce commentaire fleuve, je me suis emportée, comme tjrs qd on touche à un sujet si passionnant !)
A bientôt.
Poirette

Chez Marie Sue qui nous présentait le stock Maje, où elle est donc passée après notre déjeuner,  Material Girl a dit, le 16 janvier : Et aussi, en fouillant et en y allant régulièrement au 103 rue de Belleville, tu trouves des pièces Maje, et autres....

Chez MH qui nous contait en dessin comment c'est trop bien, pour un anniversaire amoureux,  la galette du CE, Domino a dit, le 16 janvier : sont pas très corporate les collègues !
ils pourraient au moins faire bonne figure.

Chez Violette qui s'était mis en tête que ça allait causer romantisme, sur son blog (et à ce stade, moi, juste j'ajoute : bordel !) Alexiane a dit le 21 janvier, et c'était d'ailleurs le 90e commentaire : Tu remarques que je ne me lance pas sur le thème du romantisme …

Aïe

Ouille

Chez Alexiane, qui nous expliquait comment c'est le dej' dans un resto japonais cheap avec la star (dont le nom commence évidemment par un V.), Violette a dit le 22 janvier : J'ose même pas dire que les 3/4 des trucs sont inventés, va, je laisse ton lectorat penser ce qu'il veut !

De ma vie, j'ai jamais déjeuné à 12h15 bordel ! Je te rappelle que c'est pas moi qui viens de Toulouse !

Je n'ai pas de tickets resto depuis 3 ans !

On dit pas vendeuse, on dit serveuse.

Sinon, dans l'ensemble, c'est à peu près vrai.
Ha ça fait plaisir de passer pour une connasse, j'adore !

(so long, non, on se prévient pas, ça a été ma suprise du matin et j'ai limite joui)
  
Chez Domino qui nous décryptait du mag pour constater qu'en fait ELLE est de plus en plus mince - et j'ajoute, aussi mince que le fond d'un interview de Laetitia Casta - et qu'elle n'a retenu de Vogue que deux pubs, le tout avec un de ces titres dont je suis jalouse, Elle vogue la galère, Marie Sue a dit le 22 janvier : la pub YSL est canon, merci ma domi, car ça fait belle lurette que le JR ne m'a point ramené de magazines...
ah la Casta & son teint juvamine, moi je la trouve insignifiante, en itw : AU SECOURS....
c'est pas encore cette semaine que je vais aller pécho un ELLE....

Sur ce déchaînez vous sur les commentaires, ici ou ailleurs, et à une prochaine fois.

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